Trabszo a fait remarquer :
Citation:Vous êtes décidément trop modeste Jean-Pierre,vous qui avez aiguillé la recherche
en suggérant que possiblement il était possible que Łęczyca était une orthographe
possible d’un lieu possiblement introuvable vu que ce lieu était introuvable sous une
orthographe impossible.
Effectivement bravo à
Jean-Pierre qui a initié la recherche vers le nom de cette ville prononcé et appelée Centechisz en Yiddish et écrit avec cette phonétique, l'intuition était la bonne.
On peut trouver aussi en cherchant sur Internet d'autres détails concernant cette famille, bien longtemps avant-guerre et leur destin tragique en 1942.
C'est ainsi que l'on parle d'une des filles de
Nathan Krumhorn qui habitait au 130 rue Oberkampf à Paris, comme le rapporte l'acte trouvé par
Jan Marek.
Mais là, nous sommes en 1922, et l'on ne pense pas encore à la guerre, la déportation et la mort. Hélène, l'une des filles de Nathan, le fils d'Aron,
fait l'objet d'un fait divers, rapporté par le journal "Le matin" le 8 Août de cette année, relayé par " The Chicago Tribune and the Daily News, New York " un mois plus tard, le 9 Septembre.
Hélène à 16 ans et habite au 130 de la rue Oberkampf chez ses parents.
On rapporte qu'elle a été " piqué" par un individu en rentrant chez elle.
Quelques recherches sur Internet, et l'on apprend, qu'un ou des, maniaques piquaient des dames avec des objets pointus, parait-il ! Et cela déjà au 19ème siècle. Là on voit ressurgir ce début de psychose où se mêle la vérité, des manoeuvres de diversions ou carrément de la légende urbaine. Mais c'est une autre histoire, pour ceux que çà intéresse ( sur Internet sans doute).
Rien à voir avec les recherches sur Aron Krumhorn, mais fait parti de la "petite" histoire anecdotique de cette famille où l’on apprend donc qu'Hélène a 16 ans en 1922, qu'elle habite chez ces parents et qu'elle est vendeuse dans un magasin de lingerie en gros 209 rue St-martin, à environ 2 k de chez elle.
