Ah là là ! Le Giono du début, ça va. Mais le Giono d'après-guerre, plus du tout.
J'ai détesté et pas compris son "Moulin de Pologne" (pas compris le titre) et encore plus "Un roi sans divertissement".
Mais à toi, je veux bien croire qu'on donnait le prix d'excellence pour tes rédactions
Mik