Par l’ennemi d’une terre voisine,la Pologne fut envahie.
J'ai peur que "l'ennemi d'une terre voisine" ne soit un peu ambigu en français
On est obligé de dire "venu d'une terre voisine" si on veut lever l'ambigüité.
La tournure passive me semble atténuer l'action justement de cet ennemi qui fond sur sa proie
roku pamiętnego : je pense que l'idée est qu'elle laisse une trace dans les mémoires. Donc "que nul n'oublie" me semble plus proche de l'original, même si pour rester mémorable, il a bien fallu quelque part être inouï
"Du premier septembre" me surprend. Pourquoi ce "du" ?