J'ai vu zygmunt il y deux ou trois semaines( nous avons fait le plein de zywiec) dans une épicerie spécialiste d’Europe centrale
je lui passe un coup de fil demain.
Vendôme a écrit:
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> Merci J-Pierre. C'est vrai que vous êtes
> géographiquement assez proches tous les deux. Et
> au chaud de surcroit !
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au chaud??? pas vraiment!!l'impression, aujourd'hui, un temps de novembre du vent et de la pluie. pour l'instant le printemps se fait attendre.
Hi Beskid,
Je suis encore là, touché par l'attention portée à mon égard.Si je ne me manifeste pas souvent, c'est que des bouleversements majeurs ont transformé ma vie. Après 65 ans de vie commune, mon épouse séjourne dans un établissement adapté à son état .
Physiquement je ne pouvais plus la suivre.Je vis en célibataire entre le bureau où je n'en rate pas une sur Beskid, le verger et les fleurs, et l'atelier de menuiserie où pour meubler le temps, je crée des meubles, du Louis XV, voire de la marqueterie, hobby entrepris avant la retraite.
Je rechigne à participer à des débats se rapportant à la politique, les religions, les nomenclatures, les migrants et autres sujets d'actualité.
J'écris (pour moi), une histoire de la seconde guerre mondiale, celle qu'on ne trouve pas dans les livres d'histoire, mais celle qu'on a vécu, qu'on peut découvrir sur le net et chez de nombreux auteurs.
Beskid est une grande fenêtre ouverte sur le monde et je ne pourrais m'en passer.Je participe moins, mais je reste un fervent "lurker".
Bon courage pour cette nouvelle étape de votre vie.
Quand ton livre sera écrit, quelle destination lui donneras-tu ? Je serais contente de le lire, s'il était publié.
Cześć weteranie.
Merci pour ces nouvelles rassurantes (... et merci au messager). Désolé pour ton épouse ; je suppose que c'est mieux ainsi.
Serdeczne pozdrowienia
Bonjour Zygmund,
A ce que je vois, te voilà passé en zone libre…
Ichi, après la débacle, on se débrouille et on passe l’temps comme in peut.
Les fridolins sont partout, mais j’vais quand même t’in raconter une.
Bonne continuation.
Des pêqueus s’vantent d’leurs dernières pêques dins un café :
– Mi, dit l’un d’eux, j’ai rassaqué un brochet d’chinquante lifes ! Y’avot eun’ gueule ed’vieau !
– Mi, dit Cafougnette, j’ai mis pu d’tros heures à saquer un monstre ! Ch’étot un camion allemand arrivé au début dé l’guerre et i’avo incore ses phares d’allumés.
Tous ches clients deuch’ café rient
– Eh, Cafougnette, té s’ros pas d’Marseille, ti ?
- Ch’é bon ti zotes, dit Cafougnette, si j’artire vingt cinq lifes à sin brochet, mi, j’éteins chés phares !