Bonjour à tous,

Je recherche des archives sur le parcours de mon grand-père d'origine polonaise, qui avant de prendre la nationalité française, s'est engagé pour défendre la France entre 1939 et 1945.
Je sais qu'il a du se rendre à Couetquidan (Bretagne) pour rejoindre les armées. Il a été fait prisonnier 2 fois et il s'est évadé 2 fois !
Merci de m'indiquer une piste pour mes recherches.

Bonjour,
J'ai fait des recherches concernant mon beau-père à Vincennes, en vain.
Ils n'ont pas de documentation sur les Polonais.
J'ai vu vaguement sur les autres sites qu'on peut avoir la doc à Peau ou au musée de St Cyr en Bretagne. Mais ceci sous réserves. j'éspère queles autres membres t'aideront! cordialement

Bonjour,

Ta réponse confirme toutes les difficultés rencontrées pour trouver les traces du parcours de nos aieux, même quand celui-ci a été particulier (2 évasions). Cependant, je commence à peine mes recherches et je sais que ce ne sera pas facile. Mais pour l'avoir connu, je sais qu'il a fait des choses particulières. Je suis certain que c'est noté quelque part, mais où ?
- des registres français, polonais, franco-polonais ?
- des archives sur les prisonniers et les évadés (par 2 fois) ?
En tout cas, je te remercie de ta réponse et je reste à l'affût de toute autre piste qui me permettrait de mieux connaître ou même de découvrir sa lutte pour la France. Mon grand-père se prénommait Casimir.
Merci encore.
Cordialement.

Bonjour ,

As-tu les papiers militaire de ton grand-père ?
voir centre de mobilisation et démobilisation .
voir à quel unité il appartenait
Médailles?
écrire à : pour avoir un extrait de service au BCAAM de PAU
caserne Bernadotte 64023 Pau cedex

pour sa captivité voir du coté du Bureau des archives des victimes des conflits contemporains BP 552 14037 Caen Cedex

CTILORRAIN a écrit:
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> Merci de m'indiquer une piste pour mes recherches.


Déjà le nom peut aider (sauf si c'est ultra confidentiel ) ensuite il n'y a pas d'archives à Coetquidan qui n'était qu'un bureau de recrutement. Évadé deux fois ? A quelles dates ? Et à quel endroit ?
En fonction d'une date, d'un lieu, il est possible de reconstituer un parcours. A-t-il parlé de la Suisse ?

Vous pouvez lire ici [www.beskid.com]

CTILORRAIN a écrit:
-------------------------------------------------------
> Bonjour,
>
> Ta réponse confirme toutes les difficultés
> rencontrées pour trouver les traces du parcours
> de nos aieux, même quand celui-ci a été
> particulier (2 évasions). Cependant, je commence
> à peine mes recherches et je sais que ce ne sera
> pas facile. Mais pour l'avoir connu, je sais qu'il
> a fait des choses particulières. Je suis certain
> que c'est noté quelque part, mais où ?
> - des registres français, polonais,
> franco-polonais ?
> - des archives sur les prisonniers et les évadés
> (par 2 fois) ?
> En tout cas, je te remercie de ta réponse et je
> reste à l'affût de toute autre piste qui me
> permettrait de mieux connaître ou même de
> découvrir sa lutte pour la France. Mon
> grand-père se prénommait Casimir.
> Merci encore.
> Cordialement.
Bonsoir: comme tu le dis: on n'est pas sortis d'auberge!
Tu peux essaier à Pau mais à mon avis: pas la peine.
Les Polonais qui ont combattu aux côtes des Français dans les unités polonaises ne sont pas comptablisés! Une autre solution qu'on m'a donné- contacter le musée de ST Cyr à Coetquidan.
Oublie le service des archives à Vincennes! Ils m'ont envoyé un résumé sur plusieurs pages concernant
les soldats polonais en France(sans noms etc)

Il faudrait contacter le Musée du Souvenir à l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr qui garde de précieuses archives et qui pourront peut-être t'aider dans tes recherches :



Renseignements pratiques :
Musée du souvenir Saint-Cyr Coëtquidan
Tél. accueil : 02 97 70 77 50
Tél. /Fax secrétariat : 02 97 70 77 49
Tél. réservations : 02.97.70.77.51 ou le 02.97.70.77.49 - 48 - 52
E-mail : musee.saint.cyr@gmail.com

mais c'est sous réserves!!!
amicalement Fox

Bonsoir,

Je n'ai pour l'instant qu'un seul document entre mes mains. Voici un extrait :
Instruction du 2 septembre 1939.
Le Centre Spécial de Recrutement des Etrangers de Bar-le-Duc en Meuse (55) déclare mon grand-père APTE physiquement à souscrire un engagement pour la durée de la Guerre. Il recevra en temps voulu une convocation pour signer son contrat. Aussitôt après la signature de ce contrat, il sera dirigé sur un centre d'instruction...
La ville de Bar-le-Duc aurait-elle encore des archives ?
Je recherche le livret militaire de mon grand-père ou d'autres pièces et je vais me renseigner à la Mairie de mon village. Ils ont peut-être quelques documents ?
Merci pour les infos.

Si votre grand père a pris la nationalité française, son dossier de demande de naturalisation doit certainement contenir les renseignements concernant son parcours militaire. Photocopie du dossier à demander au centre des archives contemporaines de Fontainebleau en précisant la date du décret et la référence du dossier de naturalisation. Pour obtenir ces derniers s'adresser aux archives départementales ou la demande de naturalisation a été effectuée .

CTILORRAIN a écrit:
-------------------------------------------------------
> Bonjour à tous,
>
> Je recherche des archives sur le parcours de mon
> grand-père d'origine polonaise, qui avant de
> prendre la nationalité française, s'est engagé
> pour défendre la France entre 1939 et 1945.
> Je sais qu'il a du se rendre à Couetquidan
> (Bretagne) pour rejoindre les armées. Il a été
> fait prisonnier 2 fois et il s'est évadé 2 fois


Si tu me donnes les nom/prénom et date/lieu de naissance éventuellement
je recherche la date et décret de naturalisation afin que tu demandes le dossier à moins qu'il ne soit déjà en ta possession

Coetquidan était aussi un centre d'instruction grace en particulier aux infrastructures installées par l'armée americaine en 1917.
Les americains grand inventeur du prefabriqué en kit, avaient assemblé un immense ensemble de cabane préfa en bois.
Un peu l'ancetre de la cabane ameriacine, maison préfa en kit, qui seront assemblées en centaine en 1945, par exemple dans les villes portuaires détruites, Cherbourg, Brest, Lorient, Saint Nazaire, Le Havre.

Bonsoir à tous,
il me semble que ce sujet était déjà sur beskid.com en 2003.
Peut être les archives ont évoluées depuis? J'en doute!

Bonsoir à tous,

Tout d'abord, merci à tous d'avoir pris un peu de votre temps pour me donner quelques pistes et quelques réponses.
Comme je l'ai indiqué, je débute mes recherches avec assez peu d'éléments, mais j'ai également des certitudes, des faits rapportés.
Je vais continuer et je ne manquerai pas de revenir ici pour vous donner des nouvelles et/ou pour vous demander d'autres conseils voire de l'aide.

Pour la réponse (Posté par: Lesniewski (IP Loggée) Date: 12 novembre 2011 08:44), j'avoue que c'est très tentant et que ça me faciliterait la tâche, cependant je dois m'assurer de pouvoir mettre en ligne l'identité de mon grand-père.
Je ne sais pas si j'en ai le droit (je dois vérifier le critère confidentiel).
Je prendrai ma décision après avoir pris mes renseignements en mairie.
Merci pour ta proposition que je n'oublie pas.

CTILORRAIN a écrit:
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cependant je dois m'assurer de pouvoir
> mettre en ligne l'identité de mon grand-père.
> Je ne sais pas si j'en ai le droit

Je ne comprends pas trop, si votre grand père est décédé je ne vois pas ce qui vous interdit de mettre son nom sur un forum à partir du moment où vous ne dites pas de mal de lui.

Foxvideo a écrit:
-------------------------------------------------------
> Bonsoir à tous,
> il me semble que ce sujet était déjà sur
> beskid.com en 2003.
> Peut être les archives ont évoluées depuis?
> J'en doute!


Il y a deux sujets qui reviennent régulièrement, c'est Coetquidan et le dépôt de Toul concernant l'immigration.

Pour l'un comme pour l'autre, il n'y a pas d'archives nominatives

Hélàs, je m'en doutaisps pour mon beau père - les dates de son séjour dans ce camp m'ont été donnais par les Anglais (son dossier de la RAF) mais aucune trace enFrance
amicalement Piotr.
ps mon disque externe avec les photos: je l'ai prete à un ami, je le ecupere cette semaine.

Contacter les associations des anciens combattants polonais

1. Général Witold KIEDROWSKI Président
Association des Anciens Combattants Polonais et leurs Familles
84, Bld. Pasteur 75015 Paris

2. Monsieur Stéphane GRADZIK Président
Association des Anciens Combattants Polonais en France
32, rue Ecrevolles 10000 Troyes

3. Monsieur Yves DETROYET Président
Association des Anciens Combattants Franco-Polonais
28, rue Affre 75018 Paris

Qui sait, avec un peu de chance,
Cordialement, Michel KOWALSKI - aussi en recherche pour le même sujet.

P.S : D'autre part et normalement, c'est le Service Historique des Armées de CAEN qui détient des infos................[www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr].
La consultation doit se faire sur place.

bonjour , je suis a la recherche d une liste si elle existe des ouvriers allemand et polonais qui ont travailler dans le pas de calais plus exactement dans le secteur de wissant , hervelinghen pendant la guerre 39 45 ou ou puis je avoir ses renseignements merci

Bonjour,
Je découvre votre message en même temps que votre forum....
Mon père se trouvait a Coetquidam, il y fit ses classes. Fut enrôlé dans les chasseurs de montagne envoyé a Narvik en Avril 40. Les archives des Brigades Podhale sont disponibles a l'Institut Sikorski a Londres.... Ils y conservent les registres des unités. Il est bien entendu plus facile de retrouver quelqu'un quand on connait son unité. J'ai retrouvé facilement les trace de mon père. Au archives de Pau ils avaient cependant un document que l'on m'a communiqué en moins d'un mois.....
Bonne chance
Wladek

Bonjour,
J'ai 2 photos d'un groupe de soldats polonais à, je suppose,Coëtquidan.
Mon père était allé à Narvik il a été fait prisonnier à Dol de Bretagne et Dinard.
Il s'est évadé puis c'est une longue péripétie...
Je n'arrive pas à poster ces photos sur le forum.
Si quelqu'un pouvait m'aider.
Bonne soirée
Jean-Michel

ICI tout est expliqué

comment insérer une photo

[www.klub-beskid.com]

Section de 2 pièces de mitrailleuse Hotchkiss modèle 1914.

Arme lourde, solide mais dépassé pour une guerre de mobilité.

Cette arme mise en service en 1914, après quelques années de test fut aussi en service en Pologne.

La France n'a pas travaillé sur une nouvelle arme de support d'infanterie entre 1918 et 1940, à part le FM 24/29 mais qui n'a pas le même rôle, et se trouve ainsi avec une arme peu adaptée.

Bonjour,

je découvre votre sujet. Justement ma mère vient de m'apprendre que mon grand-père, venu en France en 1935 dans le Pas de Calais pour y être ouvrier agricole, a reçu une lettre de mobilisation pour aller à Coetquidan. Son patron lui aurait dit de ne pas y aller car il avait besoin de lui à la ferme, , et finalement il n'y aurait pas eu de suite.
Je ne comprend pas bien pourquoi la France mobilisait également ses ressortissants polonais ?? Je croyais qu'elle ne mobilisait que les français.
Merci si vous pouvez m'éclairer à ce sujet.

Elsa

Elsa a écrit:
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> Je ne comprend pas bien pourquoi la France
> mobilisait également ses ressortissants polonais

Je croyais qu'elle ne mobilisait que les
> français.
>

la France n'a pas mobilisé les polonais.

les ressortissants polonais vivant en France et mobilisables, ont rejoints l'armée POLONAISE en France, ce qui est légèrement différent.

Bonjour,

La lecture de ce document ( lien ci-dessous ) devrait vous apporter des éléments de réponse.
Cordialement, Michel

[guer-coetquidan.pagesperso-orange.fr]

Monsieur, Madame

j'ai vu rapidement les questions et réponses des uns et des autres sur comment trouver éventuellement des archives (listes nominatives en premier) sur des soldats polonais enrolés en France durant la seconde guerre mondiale.

Je bute moi-même sur ce même sujet quant à trouver la trace du passage de mon grand oncle au camp de Coëtquidan fin 1939 début 1940.
Simon s'est enrolé dans l'armée polonaise vers octobre ou novembre 1939 en france (venu de Pologne en 1936 et travaillant à potigny dans le Calvados (où mes grands parents tenaient un magasin de vêtements).
il a fait 5 ou 6 mois d'entrainement militaire au camp de coëtquidan avant d'embarquer de Brest pour l'Ecosse en avril 1940 (navire Batori)
De là bas , il aurait été envoyé se battre en Norvége (date incertaine) mais se souvient de la ville de Ballengen en hiver, coupée en 2 par un fleuve gelé (date non précisée -hiver 40?)
puis sa garnison (non précisée) est renvoyée à Brest en france où il sera démobilisé (date non précisée-probable été 1941).
Voulant rejoindre Potigny pour rejoindre la famille, il sera arrêté une 1ere fois à Argentan, mais s'échappera.Retournera à potigny mais la famille n'y était plus.ira alors travailler sur Paris où il sera arrêté une 2e fois en mars 42, interné à Drancy et déporté en juin 42 à Auschwitz-birkenau où il sera jusqu'en octobre/nov 1943. puis fera partie des nettoyeurs du ghetto de varsovie (détruit en mai 43).
ordre de revenir sur birkenau, Simon s'échappera et survivra à la 2e guerre mondiale.
je l'ai trés bien connu à la fin de sa vie (décédé en 2003)

Je n'ai effectivement aucune trace de son passage au camp de Coëtquidan
--> réponse négative faute d'archives par les archives du morbihan,
--> et réponse négative du musée Sikorski à Londres des archives incomplétes qu'ils ont).
des listes ont du forcément exister mais ont pu être détruites durant la guerre ou mal conservées.
j'ai néanmoins "l'essentiel" par les archives allemandes qui ont trace de Simon au départ de Drancy et son arrivée à auschwitz.

Simon a laissé un témoignage audiovisuel fait en février 1998 dont j'ai copie.
Alexandre

alexsi a écrit:
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> il a fait 5 ou 6 mois d'entrainement militaire au
> camp de coëtquidan avant d'embarquer de Brest
> pour l'Ecosse en avril 1940 (navire Batori)
> De là bas , il aurait été envoyé se battre en
> Norvége (date incertaine
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le parcours de la brigade podhale est bien connu en cherchant sur beskid vous allez trouver pas mal de chose
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.maintenant il me semble bizarre le départ pour l'écosse et ensuite la Norvège, vous devez faire erreur.
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> puis sa garnison (non précisée) est renvoyée à
> Brest en France où il sera démobilisé (date non
> précisée-probable été 1941).
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avant de revenir a Brest la brigade podhale passe par l'Ecosse puis combat en Bretagne, ou les rescapés embarquent en catastrophe pour l'Angleterre.

la date de démobilisation été 41 en France semble également surprenante.

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[www.klub-beskid.com]

Bonsoir,
Son histoire est vraiment très intéressante.
Pouvez-vous nous en dire plus sur son témoignage audiovisuel?

Cordialement.

Michel Z

Monsieur

Je ne peux que me baser sur les propos de mon grand oncle né en 1918, qui fit un témoignage en février 1998.

il reste imprécis sur certaines dates s'excusant même durant l'interview d'avoir oublié.

néanmoins il y a certaines choses que je peux corroborer par des redécoupages de ce que je sais de ma famille
-mes grands parents paternels se trouvaient sur Potigny avant guerre où ils avaient un magasin de vêtements pour commercer sans doute avec de nombreux polonais, étant eux mêmes polonais (potigny est à 1km de la mine de fer de Soumont où les mineurs polonais étaient trés appréciés comme dans de nombreuses mines en france)
-Simon vint en france de Pologne à la demande de mon grand pére paternel qui est son demi-frére, en 1936. il s'enrola dit il dans l'armée polonaise car subit la pression d'autres familles polonaises sur place (Simon ne pouvait être dans l'armée française car venu illégalement en france)
-se souvient de son départ de Brest vers l'ecosse car veille de fête (pâque juive ou pessah tombait cette année là le 23 avril 1940) et fut invité par hasard par une famille juive à Brest (je n'ai pas retouvé la descendance de cette famille)
-se souvient du nom de ce navire "batori" où il embarqua , dont sur internet on lit que ce paquebot fut réquisitionné durant la guerre pour transport de troupes
-De la Norvége, Simon ne fait état de faits militaires mais se souvient de cette ville de Ballengen qui l'a marquée car les habitants traversaient en ski le fleuve qui coupait en 2 la ville (date non précisée - hiver 40??)
-puis retour à brest où il est démobilisé (date non précisée) mais parle de chaleur durant son arrestation à Argentan et durant sa fuite (printemps été 1941 ?? )
je peux corroborer l'année 41 par le fait que mes grands parents paternels ont quitté Potigny début 41 pour la zone libre et par ma grand mére maternelle, que j'ai enregistrée qui voulut rejoindre ma grand mére paternelle laquelle est sa belle soeur, à potigny mais celle ci la dissuada car danger- mon grand pére maternel était mobilisé à Septfonds en mai 40 et son épouse le rejoignit début 41 à Montauban avec ses 2 enfants dont ma mére ,née début 40 en Meuthe et Moselle.
-Faute de retouver mes gransds parents paternels à Potigny, Simon dit partir travailler sur Paris. il y sera arrêté en mars 42 et les archives allemandes des déportés attestent des dates de départ de drancy (22 juin 42) et son arrivée à birkenau (26 juin 42) et porta le numéro qui sera tatoué sur son avant bras (41131) lequel me questionne à ce jour .
il retrouvera sur place un autre membre de la famille lequel était "blockschreiber" c'est à dire établissait les listes de détenus du block dont il avait la charge.
il est vrai que les dates sont imprécises.
j'ai effectivement vu l'article sur cette brigade polonaise qui participa à la bataille de Narvik dont la date semble être mai 1940.

je mesure l'extrême difficulté de trouver le moindre document attestant de la présence de Simon au camp de Coëtquidan ou de son envoi en Norvége.
Cordialement
alexandre