@Vendôme : C'est mieux comme çà. Je ne comprend pas comment on peut publier des photos qui ne sont pas dans le bon sens. Encore un stagiaire, c'est désolant.
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Il était temps pour le souvenir ! Merci à Jean-Pierre pour les liens.
Dzięki Jean Pierre. Effectivement on commence à en parler de ces drôles de types qui se sont battus pour la liberté des autres: "Za Waszą Wolność...
En plus de la photo presque "do góry nogami" il y a le colonel Pawli Kowski et la représentante de l'ambassade Barbara Stock Nicka!!! (sic) Bon ya encore du boulot
Rendons au moins correctement leurs noms aux représentants de la Pologne :
Trouvés sur un autre site, pour un autre hommage, mais les mêmes :
Colonel Stawomir Pawlikowski, attaché de défense militaire, navale et de l’air, puis de Barbara Sosnicka, ministre-conseillère, cheffe de mission, adjointe de l’ambassade de Pologne,
Le L barré du colonel est devenu un T, en èspérant que le nom de la représentante de l'Ambassade soit bien orthographié.
Encore des stagiaires et des coups de pieds qui se perdent.
Moi qui connait Zoska, depuis même avant que l'on sache parler, je l'appelle toujours par son prénom polonais, tel que j'ai dû l'entendre la première fois quand sa maman s'adressait à lui dans le bac à sable du square de quartier où nous habitions et en plus par son diminutif. Même que je savais même pas que c'était du polonais. Je ne sais même pas si beaucoup de personnes l'appelle encore ainsi, si cela l'agace ou pas, mais c'est ainsi, c'est gravé dans mon disque dur cervical et c'est en toute amitié, c'est ainsi, j'aurai du mal à l'appeler par un autre prénom, sauf peut-être en "société",avec des gens qui ne le connaissent que par celui qu'il emploie par pure commodité. Je m'imagine la transcription par le préposé de la mairie, lors de la déclaration de naissance. Il est pas obligé de l'écrire.
JPaul!
Le bac à sable du square des pompiers, nos pots de chambre, les 31 décembre, Stella, l'amitié de nos parents, la notre. Cela fait pleins de souvenirs communs
Alors mon prénom celui qu tu connais depuis qu'on savait pas parler avec ou sans Ł
c'est celui qui continue à nous unir même quand tu croyais que j'étais parti ad patres.
Sciskam dłoń