Re: "casse-toi pauvre con" (citation...)
Posté par:
René (IP Loggée)
Date: 29 février, 2008 13:14
Je suis moyennement d'accord sur le role du président de la 5ème, je ne connais pas en profondeur les etxtes et les attributions de chacun, mais le président nomme le premier ministre en lui demandant d'appliquer une politique, celle pour laquelle il a été élu normallement.
Chirac donnait l'impression de rien faire et de laisser le premier ministre en première ligne, ce qui est un peu normal puisque c'est son rôle, il lui reste quand même la reflexio d'ensemble, es compte rendu de son premier ministre, la politique etrangère, les alliances et les grands rendez-vous internationaux pour representer le pays, on est loin des Chrysanthèmes plus dans le role du président de la 3ème et 4ème république.
Sarkozy lui n'est pas à l'aise dans cette configuration, de part son caractère et de part sa bougeotte, on a bien vu quand il était au ministère de l'intérieur, son but comme il sait qu'il est impuissant sur de nombreux sujets est de controler l'information, mais même là il ne se maitrise pas et son coté matador et son envie de faire le malin, ne lui permettent pas de blinder sa communication.
Les progrès ne sont pas attendre de lui, c'est un dogmatique pragamatique ébahie par le modèle américain, un mélange de nouveau riche et de droite réactionnaire classique qui sait flatter l'ouvrier et le patron, laissant finallement tout le monde en plan dans des rapports de force classiques ou l plus faible à tort.
Le progrès ne viendra par lui.
De plus il n'a pas un sous de marge de manoeuvre et met sur le dos du manque de travail des français notre faible compétitivité alors que les experts techniciens nous racontent des sornettes depuis des decennies sur l'avenir economique du pays.
Dans un premier temps, remettre le ministère du plan, plutôt que d'avancer au sondage de la semaine, et engager des reformes constructives avec tous les acteurs plutôt que de vouloir faire la peau à certains par vengeance dogmatique, en jouant le pourissement, nous sommes des adultes et pas des imbéciles.