Citation:Lenka
(Może Vendome przetłumaczy. Poproszę)
Z wielką przyjemnością, Szanowna Pani Dyrektorka
Tracuction libre
"Le soulèvement avait des chances de réussir, si ce n’avait été l’attitude adverse et hostile des Soviétiques, lesquels s’était opposés aux vols de ravitaillement en armes et équipement des Alliés.
Staline avait promis de l’aide, mais en réalité il aura tout fait pour que le soulèvement se solde par un échec.
Devant Varsovie, l’offensive de l’Armée Rouge s’est arrêtée net sur la rive droite de la Vistule. Durant tout le mois d’août et la première décade de septembre aucun avion soviétique n’est apparu dans le ciel de la capitale, laissant le champ libre aux stukas allemands pour bombarder sans risques les positions des Insurgés.
Dans le même temps les équipages anglais, polonais et sud-africains décollaient à pleine charge d’Italie et volaient au-dessus de la moitié de l’Europe, essuyant de lourdes pertes, afin de parachuter armes et matériel aux Insurgés
(une grosse partie tombait dans les lignes allemandes). Les Soviétiques s’y étant opposés, les avions ne pouvaient pas non plus se poser sur les aérodromes soviétiques, ni en cas d’avarie, ni afin de refaire les pleins pour les vols de retour.
(cette possibilité aurait permis d'emporter au départ une charge utile plus importante, à la place du poids de carburant nécessaire au vol retour)
Privé de l’espoir d’une aide conséquente, les Insurgés se sont résignés à la capitulation le 2 octobre 1944, après 63 jours de lutte, seuls face aux Allemands.
(les représailles, sur les combattant, sur les populations civiles et sur la ville furent impitoyables)
Après-guerre, dans la Pologne gouvernée par les communistes, les soldats de l’AK et les Insurgés varsoviens ont été traqués et persécutés ; qualifiés de « d’infâme nains/résidus de la réaction » , d’ennemis du peuple et de la Nation (… socialiste). Le simple fait qu’ils aient combattu pour la Pologne et pour Varsovie, était, aux yeux de la PRL communiste, un crime.
Harcèlement multiples et incessants, persécutions, arrestations, torture et meurtres, selon le droit communiste dans toute sa "splendeur" ; dès lors c’est le tout puissant UB - Service de Sécurité
(chapeauté par le NKVD) qui décidera de la vie et du sort des Insurgés. Bon nombre d’entre eux ainsi que des combattants de l’AK n’ont jamais recouvré la liberté. A ce jour on ignore toujours où se trouvent leur tombes
(… si tombes il y a eu)"
(en italiques, notes du traducteur)
A titre personnel, j'ajouterais qu'une grande partie des rouages de l’État polonais est encore, à l'heure actuelle, gangréné par les anciens communistes de l'UB, et ce à tous les échelons : national, régional, local
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cлава Україні 🇺🇦🇺🇦