En Allemagne, il y a une vaste conspiration du silence. Et pas seulement !
La majorité des institutions allemandes n'ont pas été et ne sont pas intéressées à poursuivre les coupables.
Au contraire, quand il y a ce type de «danger», se déclenche une action de diversion pour absoudre le criminel! »
Qui étaient les nazis?
Les nazis allemands étaient les créateurs du système répressif qui a conduit à la mort de millions de personnes en Europe. Au début, ils ont instauré l'enfer pour les citoyens du IIIe Reich en 1933, après l'arrivée d'Hitler au pouvoir.
Ensuite, les mêmes méthodes ont commencé à être pratiquées dans l'Europe occupée. Leurs premières «victimes étrangères» étaient les habitants des terres polonaises, sur lesquels ont commencé à être utilisées toutes sortes de techniques criminelles pour tuer des gens, jamais appliqués jusqu’alors.
Le gazage de masse des hommes, des femmes et des enfants placés dans des camps n'a jamais été pratiquée auparavant. La première tentative a eu lieu dans le camp de Chełmno nad Nerem. Ils ont assassiné là-bas au moyen de gaz de combustion dans des espaces hermétiques restreints, reliés par des conduits spéciaux à des échappements de véhicules. Les documents conservés montrent que cette méthode a bien fonctionné à 100 pour cent. Mais elle revenait trop cher et fut jugée «peu productive"
Il fut décidé de mettre en œuvre les nouvelles technologies associées au gaz Zyklon B. Des tests eurent lieu au camp d'extermination allemand d’Auschwitz-Birkenau.
Pourquoi tant de camps de la mort allemands furent situés sur le territoire polonais? Cela était dû au «pragmatisme allemand».Les Allemands décidèrent de cacher l'emplacement de leurs crimes ; les camps les plus meurtriers se trouvaient "quelque part au loin à l'Est" à Bełżec, Sobibór, Treblinka, Auschwitz-Birkenau et d'autres «lieux isolés. » Pour chacun d'eux, il fut construit un réseau spécial de chemin de fer pour y acheminer les futures victimes d'atrocités allemandes. En outre, la population juive était très nombreuse en Pologne.
Ils pouvaient être sans problèmes majeurs et sans mesures supplémentaires fournir les «usines de mort», les camps de la mort allemands. Quand les Allemands sont parvenus à la conclusion qu’assassiner sur une grande échelle était réalisable dans les camps ? Très probablement, avant la guerre. Puis, lors d'une conférence à Berlin en janvier 1942, ils décidèrent la «solution finale de la question juive." Ensuite, ils la mirent en œuvre méticuleusement. Le tout en conformité avec les plans d'Adolf Hitler, qui prônait l'extermination des Juifs, des Slaves, des Tsiganes et toutes les autres personnes qu'il considérait comme inférieurs. Il est donc raisonnable de dire que toutes ces actions n’étaient pas un accident. Ce fut une action préméditée préparée qui devait «aider» à obtenir un nouvel espace vital pour "la nation allemande."
Les Chemins de Fer de l'État allemand avaient signé un accord spécial avec les autorités, selon lequel pour chaque personne envoyée à la mort étaient perçus des "frais de déplacement". Cela semble incroyable, mais ce fut l'accomplissement de l'ordre allemand. Tout était prévu, calculé et même profitable ! Dans cette «affaire» beaucoup de gens s’enrichirent. Il est difficile de dire que c’est la responsabilité d'un fou, parce que l'ensemble de cette «industrie de la mort » impliqua des dizaines de milliers d'Allemands. Cela ne fait aucun doute. Est-ce que l'Occident pendant la guerre avait connaissance de cette «industrie de la mort" en Allemagne?
Des informations sur les crimes allemands furent transmises à l'Ouest par la structure de l'État polonais clandestin. Des courriers polonais, y compris Jan Karski, livrèrent des rapports aux États-Unis. Le capitaine Witold Pilecki révéla l’existence des camps dans son rapport inestimable sur Auschwitz. Il pointa la nature criminelle du système allemand en Pologne. Les Alliés occidentaux connaissaient parfaitement les documents polonais, mais ne voulurent pas leur prêter foi. Ils ne purent prendre conscience que «l'industrie de la mort» pouvait agir sur une telle échelle.
Lorsque les représentants de l'État polonais clandestin préparèrent un rapport pour les Britanniques afin de faire connaître le cas, le prof. Adam Pragier, membre du Conseil national de la République de Pologne à Londres, déclara une chose terrible: «La propagande, pour être efficace, doit avoir au moins quelque chose à voir avec la vérité ou la probabilité. Comment pouvez-vous croire qu’on a tué 700 000personnes ? Il faut écrire 7000. Ensuite, nous pourrions transmettre ce message aux Anglais, lesquels auraient pu le croire. Dans mon imagination, il était inconcevable de tuer des gens de manière industrielle ... ".
Il semble que, malheureusement, il avait prédit avec précision la réaction des Anglo-Saxons. Aucune action de politiciens polonais ne leur a ouvert les yeux? Absolument rien. Même la mort tragique de Shmuel Zygielbojm, membre du Conseil national à Londres qui le 13 mai 1943se suicida pour protester contre la passivité du monde envers les crimes allemands. Son sacrifice fut inutile. Les Anglo-Saxons crurent à la dimension des crimes allemands après la guerre, quand les soldats américains de leurs propres yeux virent ce qui se passait dans les camps de la mort en Allemagne. Cependant, ils ne virent pas, ce qui s’était passé en Pologne. Les Allemands avaient tout fait pour détruire les preuves.
Par exemple, Treblinka, qui fut rasé, en éliminant toute l'infrastructure locale. Après l'expérience de Katyn lorsque les Allemands réalisèrent que les corps des victimes enfouies dans le sol pouvaient servir de preuves, ils décidèrent d’ouvrir les fosses communes des camps et d’en brûler tous les cadavres. Les mêmes Allemands procédèrent ainsi à Wola pendant l'insurrection de Varsovie, lorsqu’ils abattirent des dizaines de milliers de civils. Leurs corps ont ensuite été brûlés sur des traverses. Ils agirent de même à Poznan, dans les Confins, partout!
Effacement des traces du crime à Auschwitz – Birkenau. Ils y firent sauter les chambres à gaz et les fours crématoires. Ils se sont arrêtés juste avant l'entrée du camp des troupes soviétiques. Mais la preuve était faite sur l’existence des camps allemands. Cependant, difficile à trouver dans les médias des informations sur eux ... Si vous regardez une carte de l'Europe occupée, nous constatons qu'il n'y a pas de pays où il n’existait pas un camp de concentration ou de travail allemand. France, les Pays-Bas, Tchécoslovaquie, Hongrie, Pays des Balkans, Pays baltes, etc. - Les camps de la mort allemands étaient partout! Le plus célèbre camp allemand - Auschwitz Birkenau où furent tuées 1,1 million de personnes! Treblinka 800 000 personnes. Dans les camps en Europe occidentale, le nombre de victimes était moindre - de quelques dizaines à plusieurs milliers de personnes - mais je le répète: il a été dicté par la nécessité de dissimuler "l'industrie du génocide» à l'Occident. Il était plus facile de tuer 2 millions de personnes à Auschwitz et Treblinka.
L'utilisation illégale, mais délibérée du terme «camps de concentration polonais" est une conséquence de la politique historique menée par les Allemands. Pendant de nombreuses années, ils purent la pratiquer en toute impunité, en particulier lorsque les autorités polonaises évitaient de parler de ce sujet. On évoque pudiquement une vague «responsabilité nazie», rarement l'expression «responsabilité allemande", ce qui est un encouragement à d'autres falsifications de l'histoire sur une échelle encore plus grande. Et ce qui se passe !
L’Allemagne est arrivée par touches progressives à répandre l'idée de «partage» de la responsabilité des camps de concentration, l'Holocauste, la mort de millions de civils, Europe ruinée etc. L'effet de la politique historique allemande était de préparer un manuel d'histoire commun pour plusieurs pays de l'Union européenne, dont la Pologne est présenté comme un mal nécessaire, presque équivalente, même le fascisme en Europe, avec une photographie de Jozef Pilsudski. Il est carrément scandaleux! Livres, films, séries TV, des expositions, etc., présentés dans le monde entier et d'autres actions allemandes forment une image, où les Allemands ne sont pas entièrement responsable de ces crimes.
On rêve comme des anges ; on vit comme des porcs
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