Citation:Dans votre jeunesse : Est-ce que Messieurs et d'autres se sont posés la question après "union" pour ne pas écrire autre chose..... si la dame ou demoiselle était protégée par une contraception ????
On parle ici de rapports consentis. Excluant les viols et autres.
On dirait que dans ce temps-là, ( le mien, le vôtre) c'était forcément la "faute" du mec si la dame ou demoiselle risquait de tomber enceinte et que la goujaterie était banale. Bien sûr, qu'on se posait la question du polichinelle dans le tiroir, ( le fameux Polichitoir dans le tirnelle) aussi. La question était là déjà, mais avant étreinte...Et comme il faut bien que jeunesse se passe, pour faire cette " union" il fallait mieux être deux et consentant. Et comme chaque jeune fille devait savoir, même si ce n'est pas une science exacte, que certaines périodes étaient plus propices que d'autres , pour faire ou ne pas faire, déjà. De plus le beau jeune homme savait qu'il devait avoir une certaine maîtrise à défaut de mettre le OLLA qui ne courait pas les rues. A la SNCF on sautait en marche et ailleurs aussi. C’était une question de confiance réciproque avant le souhait d’Antoine de pouvoir mettre en vente les pilules dans les Monoprix. Autrement, nous serions peut-être cerné par les filles-mères, et monoparentales, qui soit dit en passant semblent plus nombreuses maintenant que dans notre jeunesse !).
Pour en revenir à une méthode de "contraception", retournons un moment en Pologne du temps de la PRL, où la jeunesse aussi avait aussi ses désirs et ces "besoins" et, comme on parle de la " contraception" féminine, il en existait une, typiquement réservée aux demoiselles et aux dames qui le désiraient. Qui savaient qu’elles allaient avoir un rapport imminent et donc qui avaient prévues le coup ( si je puis m’exprimer ainsi). La boîte ne devant pas être trop loin ! Et si ces jeunes filles s’en servaient c’est qu’elles savaient ce qu’elles faisaient ! Même s’il s’avéra que cela n’était efficace que dans 80% des cas, paraît-il…Alors pour ceux qui connurent la PRL, y allèrent pendant les vacances, en ont entendu parler : il s’agissait des « fameuses »
Globulki Zet, en vente chez les bons apothicaires ou ailleurs, va savoir. C’était le domaine du Féminin…
Enfin, les dames devaient mettre cela un quart d’heure avant les rapport là où il faut, et la « globule », par effet de chaleur se transformait en une mousse spermicide, comme son nom ne l’indique pas. D’accord, çà existe encore partout, mais en PRL, puisqu’on parle de la Pologne de cette époque, la pilule était rare et le nom était plus rigolo.
Maintenant reste à savoir, pour de doctes savants, si le fait de tuer des spermatozoïdes, porteur de demie-ébauche de vie en devenir, est un acte répréhensible ou immoral.