Bizarre cette réaction (désolé, peut-être j'ai mal compris)...
Quand je lis:
"constitutifs d'infractions pénales : des mauvais traitements sur des enfants (violences, privations de repas, punitions à caractère corporel...)" je ne peux pas ne pas poser la question: éducation était comme ça pendant des siècles et personne ne disair que c'était mauvais.
Quand je lis: "des soupçons d'infractions de nature sexuelle" je reste sur le mot "soupçons". On a prouvé quelque chose?
Quand je lis des commentaires:
"Mon fils s'est fait interroger, par trois gendarmes, avec des questions très orientées, il en était choqué" oi "Je suis parent d'élève d'un adolescent qui est inscrit dans cette école. Il n'y a d'après mon fils jamais eu la moindre trace d'autre punition que des heures de colles et un renvoi dans un cas très grave."je me pose la question si on a affaire aux vrais abus ou on veut nuire à une école?
Vous en savez un peu plus ou vous vous basez uniquement sur ce que la presse veut faire croire?
des mauvais traitements sur des enfants (violences, privations de repas, punitions à caractère corporel...)" je ne peux pas ne pas poser la question: éducation était comme ça pendant des siècles et personne ne disair que c'était mauvais. [b][/b]
Vous savez sans doute qu'à l'heure actuelle, mettre une giffle ou une fessée même à son enfant est passible du tribunal.
Pour le reste, on pourrait se laisser abuser par la presse. Mais en partant du principe qu'il n'y a pas de fumée sans feu...
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Mangeons bien, mourrons gras et tant pis pour les porteurs!!