Citation:Mézigue
La Commission est pressée : les eurocrates à la manœuvre doivent tordre le cou à la Hongrie et à la Pologne avant les élections législatives en mai 2019. De manière vicelarde ils ont voté l'application de l'art. 7 à l'encontre de la Hongrie, et maintenant il vont s'occuper de la Pologne.
Puis, encore une fois ils vont bien tambouiller ça, et en une séance ils vont rectifier la Hongrie et la Pologne... (et en même temps priver la Pologne de voter en faveur de la Hongrie et vice versa, la Hongrie pour la Pologne)
On peut parier que c'est comme ça que ça va se passer.
Ca n'a pas loupé : aujourd'hui 24 septembre 2018, la commission Européenne à saisi la CJUE (Cour de justice de l'Union Européenne) à l'encontre de la Pologne, considérant que la réforme de la Cour suprême, blablabla... blablabla... etc.
En effet la récente loi polonaise qui abaisse l’âge de départ de ses juges de 70 à 65 ans, « est incompatible avec le droit de l’Union », dixit l'exécutif européen.
Mais il y a plus grave :
Après la saisine, en décembre 2017, par l’exécutif eurocratique concernant les réformes judiciaires du gouvernement polonais, cette nouvelle saloperie est la deuxième, et les deux sont menées parallèlement à une troisième procédure plus lourde, dite de l’article 7 du traité sur l’UE. Cette dernière a été déclenchée, également en décembre 2017, par la Commission Européenne, qui a estimé estimant qu’il y avait globalement "un risque de violation grave" de l’État de droit en Pologne.
Ce coup tordu qui n'avait encore jamais été déclenché, a été également activé
< le 12 septembre dernier par le Parlement européen à l'encontre de la Hongrie >. Cette procédure peut en théorie
conduire à retirer les droits de vote d’un pays au sein du Conseil de l’UE.
... en l’occurrence à la Pologne et à la Hongrie.
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cлава Україні 🇺🇦🇺🇦