Zefir a écrit:
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> > Intéressant l'article sur les viols commis par
> > l'armée rouge . Vous avez envoyé ça à
> Poutine
> > ?
> Ce tchékiste ? Il va nous expliquer la détresse
> sexuelle de moujiks soumis à la tentation...


Il faut dire que en 45, las premières lignes de l'armée rouge, ce n'étaient pas des prix Nobel en puissance. Composé la plupart du temps d'anciens prisonniers, abreuvés d’alcool et de drogues pour avancer et rentrer dans les villes, il ne fallait pas s'attendre à autre chose que de la casse, pillages, et viols .

Certains pensent qu'ils étaient pire que les Allemands ( ceux qui ont survécu et qui ont eu affaire aux deux
Pour moi, concernant la Pologne, le mot libération est un abus de langage

En 1944 et 1945, l'armée rouge était en véritable crise des effectifs, comme les anglais et les polonais à l'ouest, début 45 on appelle les 16 17 ans, on vide les hôpitaux, et le rythme de progressions est si tendu que la durée de vie d'un fantassin est de moins de 1 semaine en première ligne.
Il y a une véritable volonté du régie communiste de faire régner un climat de terreur au moins en Allemagne (frontière de 39) pas de communication négative contre la population polonaise, film des horreurs nazis montré au cinéma aux soldats. Le ressenti des russes sur le comportement polonais est aussi paradoxal, il ne comprennent pas que les polonais en les accueillent pas comme des libérateurs.
Après en jouant sur les mots l'armée russe a effectivement pulvérise l'armée allemande, et a libéré les polonais de l'occupation allemande, mais pour que ce soit effectivement perçue comme cela, il aurait fallu que l'armée rouge quitte la Pologne au moins en 1947.
Mais il est difficile sans confiance de lâcher la proie pour l'ombre, surtout que l'armée rouge est au bout du rouleau en 1945