La hausse des prix à la consommation en Pologne a ralenti en décembre, à 16,6% sur un an, après 17,5% en novembre et 17,9% en octobre, selon une première estimation de l'Office national des statistiques (GUS) publiée jeudi. Sur un mois, les prix ont augmenté de 0,2% en décembre, après +0,7% en novembre et +1,8% en octobre.

Selon l'institut des statistiques, la hausse des prix à la consommation a été tirée en novembre par la progression des prix de l'énergie (+31,2% sur un an), notamment celle des carburants (+13,5%) et des produits alimentaires (+21,5%).

M. Glapinski a déclaré qu'il s'attendait à une hausse de l'inflation en janvier et février, mais qu'elle diminuerait par la suite.

"Nous prévoyons qu'à la fin de l'année, comme vous le voyez dans la projection de novembre, l'inflation sera à un chiffre. Je pense qu'il y a 8% dans la projection... mais peut-être que ce sera moins de 8%."

le taux principal de la banque centrale de Pologne s'établit à 6,5% et devrait rester stable en 2023.


Le gouvernement polonais va réhausser deux fois le salaire minimum national en 2023. Fixé aujourd’hui à 3 010 zlotys (657 euros), il passera à 3 383 en janvier prochain puis 3450 zlotys (753 €) en juillet, soit une hausse globale de 14,6 %. La mesure sera formalisée d’ici le 15 septembre après passage devant le Conseil du dialogue social, où sont représentés patronat et syndicats. Cette augmentation ramènera son niveau devant celui de la Hongrie et de la Lituanie (respectivement 707 et 730 euros aujourd’hui), non loin de celui de la Grèce, où il est actuellement de 773 euros. Elle suit une hausse de 7,5 % accordée pour 2022. Le salaire minimum n’atteint cependant pas encore les 4 000 zlotys promis par Jarosław Kaczyński, président du parti au pouvoir Droit et justice, en amont des dernières élections législatives en 2019. L’annonce intervient alors que l’inflation atteint 14 % en mai dans le pays, niveau jamais atteint depuis 1998, selon une estimation d’un institut statistique cité par Reuters. Le salaire minimum actuel respecte tout juste le taux minimum conseillé de 50 % du salaire moyen qui serait instauré si la directive européenne sur les salaires minimaux est adoptée

Donc 7,5% en 2022 et 14,6 % en 2023 soit 22,1% en 2 ans pour 26% d'inflation
En France je ne pense qu'il y ait le moindre ajustement.

René a écrit:
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> En France je ne pense qu'il y ait le moindre
> ajustement.

En France le calcul est vite fait. La macronie probablement suite aux conseils de Mc Kinsey a mis un bouclier énergétique en place. Comme le carburant rentre dans le calcul de l'inflation, il a suffit des quelques milliards de subventions de l'état pour limiter l'inflation.
Mais en 2023, va falloir payer et ça très cher .On va ajouter que Total a continué de bosser avec du pétrole russe et en échange de la tranquillité pour eux , ils ont fait une petite remise de plus aux automobilistes

Du coup, pas trop d'inflation mais la France est encore plus ruiné que d'habitude. Ils ne vont même plus fournir des boulons pour réparer leurs chars il ne risque donc pas d'en livrer
Quand aux Allemands, c'est Tank Schön !!!!!!

ce conflit aura permis de mettre en évidence l'état des armées européennes, qui à la suite de la fin de l'URSS et de fait, ce qu'on a appelé la fin de l'histoire, ont décru plus ou moins rapidement. en 2023, 2 constats, l'armée britannique n'existe plus (dixit un général américain), l'armée allemande existe encore sur le papier mais tout son matériel est en panne et n'a pas combattu depuis 1945, et n'en a aucune envie. Fabrique des centaines de chars, mais personne ne peut s'en servir comme il veut puisqu'ils ont les pièces détachés, paradoxal.
La France a voulu avec son ADN gaulliste conserver son indépendance mais faute de budget et de débouchés économiques et voulant être généraliste produit des petites séries de tout, chers et avec un maintien dans le temps difficile, nécessitant à un moment le cannibalisme accompagné d'une nouvelle réduction de moyen.
Pour les chars Leclerc 400 produits, 100 en service, 50 en modernisation à rentrer, 50 a sortir pour modernisation, 150 stocké sans entretien et 50 stocké avec entretien, pour une exploitation jusque 2040.
Peu de mou pour les céder, et comment les entretenir, car de fait on voit bien que leur usage est extrêmement limité et lié à la capacité de maintenance et non pas l'inverse.
Après si les ukrainiens les utilisent pour des offensives pas besoin de maintenance, les détruits serviront de pièces au survivants

Par contre les EAU en ont acheté 380 dont 70 cédé à la Jordanie, il y a un dont un volant de 300 blindées qui pourraient servir à l'Ukraine, mais qui financerait ?