[www.dziennik.pl]

Voilà que les Polonais corrigent les journalistes européens qui ont avec la précision historique les mêmes problèmes que Homère quand il écrivait l'Iliade..... il va falloir qu'ils s'habituent à bien écrire "camps de concentration nazis". En somme, mieux vaut tard que jamais.

Les camps étaient allemands, même pas nazis .... Encore un effet de mode qui essaye de nous faire croire que les Allemands n'ont rien fait.

On retrouve le même cas de figure entre communiste et stalinisme. Les mauvais, c'était bien évidemment les stalinistes, les communistes étaient remplis de charités, c'est bien connu.

Car dans le cas du Struthof en Alsace on peut alors écrire camp de concentration français.

Je pense que dans le cas des camps de concentration et d'extermination hitlériens, il serait juste de dire "nazis et autres collaborateurs" et pour le Goulag "camps soviétiques", auquel il faut d'ailleurs ajouter également "et autres collaborateurs". Dans les deux cas, c'est une doctrine de gestion de la société et du pouvoir politique propre au 20ème siècle.

De plus la Pologne n'existait plus, patagée entre Allemagne et Urss depuis ...

autre chose, Les camps étaient allemands, même pas nazis .... Encore un effet de mode qui essaye de nous faire croire que les Allemands n'ont rien fait.

"On retrouve le même cas de figure entre communiste et stalinisme. Les mauvais, c'était bien évidemment les stalinistes, les communistes étaient remplis de charités, c'est bien connu."

rien à voir, l'Allemagne est un pays et le communisme une doctrine.....
En plus il y a eu plusieurs communismes et un seul nazisme, impossible Ridicule de comparer le communisme de Gierek et de Staline…
De plus il y en a qui ont du profiter en France de la charité communiste du front populaire qui vous a donné les congés payés entre autres…

Tomasz a écrit:
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> rien à voir, l'Allemagne est un pays et le
> communisme une doctrine.....

On parle d'effet de mode qui fait que l'on cible des mots ou des noms à la place d'autres ... essaye donc de suivre au lieu de dire rien à voir.



> En plus il y a eu plusieurs communismes

Ah bon ?


> De plus il y en a qui ont du profiter en France
> de la charité communiste du front populaire

Limiter le front populaire au communisme est une injure à tous ceux n'en faisait pas parti

Tomasz a écrit:
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il y en a qui ont du profiter en France
> de la charité du front populaire

Le front populaire c'est aussi Munich en 1938 ...

bonsoir,

"Car dans le cas du Struthof en Alsace on peut alors écrire camp de concentration français"

ou

"Car dans le cas du Struthof en Alsace on peut alors écrire camp de concentration en France"

On joue sur les mots

jean

Oui mais Munich ne t'as pas donné d'argent, alors que le front populaire tu l a bien pris l argent qu il te donnait, et tu ne l a pas rendu......

Tomasz a écrit:
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> Oui mais Munich ne t'as pas donné d'argent, alors
> que le front populaire tu l a bien pris l argent
> qu il te donnait, et tu ne l a pas rendu......

Le front populaire ce n'est pas les communistes et en plus je n'ai pas de congés payés contrairement à toi.

C'était par analogie au raccourci des journalistes qui parle de camp de concentration polonais.

Epoque troublée ou le meilleur cotoie le pire dans les discours de Blum, pacifisme bellant stupide et progrès social pour les français, tandis que Thorez dit :
« nous ne croyons pas un seul instant à la défense nationale… les prolétaires n’ont pas de patrie ». Il ajoutera devant le même auditoire « … nous invitons nos adhérents à pénétrer dans l’armée afin d’y accomplir la besogne de la classe ouvrière qui est de désagréger cette armée ».
Et Blum en 1933 :
« du moment qu’on démolit l’armée, j’en suis ».

Mais attention, l'armée est aussi fautive, les français ayant donné leur confiance et leur vie en 1914 ont été inutilement sacrifié par une hiérarchie militaire empreinte des théories les plus folles du style de celle du commandant Grandmaison qui pronait la charge à la baïonnette et au clairon de plus de 200 mètres de l'ennemi pour prouver la supériorité morale de la race française, résultat entre le début aout 14 et mi septembre, 300 000 morts et le double de bléssé. Ensuite Verdun, la Somme, le Chemin des Dames, Notre dame de Lorette, etc.

L'inhumanité nazi est née dans les tranchées de 1915 à 1918, le pacifisme français et les reculades britanniques sur le prix à payer sur le continent aussi.

René a écrit:
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> ... du style de celle du commandant
> Grandmaison qui pronait la charge à la
> baïonnette et au clairon de plus de 200 mètres
> de l'ennemi pour prouver la supériorité morale
> de la race française, résultat entre le début
> aout 14 et mi septembre, 300 000 morts et le
> double de bléssé. Ensuite Verdun, la Somme, le
> Chemin des Dames, Notre dame de Lorette, etc.


Page de couverture d'un bouquin de ce colonel - édité en 1912.

Vous avez bien lu : c'est bien le mot "dressage" qui est employé !

J'ai trouvé un bout d'article interessant que je mettrai ici quand j'aurai un peu de temps, qui se rapporte à l'héritage de la pensé militaire de 1914 à notre époque, edifiant.

De Grandmaison et Foch sont les théoriciens de l'offensive à outrance, la fine fleur de la jeunesse française, officier et le meilleur de l'armée de métier, tombera et noirciera sous le soleil ecrasant d'aout 14, sans aucun bénéfice.

Le terme dressage est souvent utilisé à cette époque, on le trouve aussi dans la bouche de Pilsudski.
La guerre de 14 est une époque intermédiaire, la difficulté, on y pense peu est le commandement, et la transmition des ordres, le commandemant se fait à la voix ou au clairon, l'officier subalterne (de sous lieutenant à commandant) charge en tête et est souvent tué dans les premiers, le chaos arrive vite, et seul une troupe aguerrie et bien rodée à la manoeuvre reste cohérente et organisée.
Le problème c'est que l'échec des charges n'est pas prévu et la troupe decimé se trouve consterné par l'inefficacité de son effort si couteux. De plus de nombreux soldats sont des appelés et se retrouve en l'espace de 1 semaine du champs ou de l'atelier, sur le champs de bataille, eux sont complètement perdus.

Jusqu'à la guerre de secession, une unité peut progresser jusqu'à 100-150 metres en ordre serré au pas sans subir le feu d'infanterie de l'adversaire, seule l'artillerie peut tirer à 1500 metres et plus. Avec l'amélioration de la portée des armes (canon rayé qui donne une vitesse initiale plus importante au projectile) et la cadence (les armes à repetition apparaissent en 1865, la celèbre Winchester 1876, celle de steve Mac Quenn dans Joss Randall), la progression a découvert est un suicide, les militaires français n'ont fait aucun cas des exemples vues aux USA ni en Russie en 1905.
Cette mentalité se retrouve, dans la cavalerie polonaise en 1939, supériorité d'un esprit de corps et mépris affiché de la mort et du feu ennemi, au détriment de l'éfficacité.