Je suis en train de remplir des bulletins d'évaluation d'élèves et j'ai commencé à écrire pour un enfant qui rencontre des difficultés mais qui fait des efforts :
"M... a du mal, mais elle se donne du mal."

Et j'ai pensé à toi, et à l'explication donnée il y a quelques temps sur ces expressions.


Mik

Je me souviens bien de ton explication, Mik; Segolene Royal avait "du mal" de sourire quand elle était en colere (étrangement, le sujet est toujours actuel; la candidate presidentielle, aura-elle du mal de sourire dans à peu pres deux semaines ?). Tes explications m'a fait pensé du changement de signification de ce mot imposé ici par l'article partitif, ce qui est peut-etre plus évident dans le polonais [du mal = trudnosc ou klopot; (un) mal = ból] que dans le français. Tes éleves, ils sont francophones, n'est-ce pas ?

Oui oui, ils sont francophones. D'ailleurs, c'est plutôt leurs parents qui lisent ces bulletins.
Ils sont francophones sauf un enfant arrivé du maroc en septembre. C'est impressionnant la vitesse avec laquelle il a appris à parler français.

Mik

Voici trois blagues que j'ai lues dans le journal non-payé METRO en arrivant dans le bureau aujourd'hui:

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Siedmiolatka powiedziala rodzicom, ze Jasiu pocalowal ja dzis w obecnosci calej klasy.
- Jak to sie moglo stac ? - zdziwila sie matka.
- To nie bylo proste - przyznala mloda dama. - Trzy kolezanki pomogly mi go zlapac i przytrzymac.

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Dziewczyna skarzy sie kolezance:
- Zostalam wczoraj oszukana.
- Co sie stalo ?
- Chlopak zaprosil mnie wczoraj na szachy.
- No i co ?
- Gralismy do rana.

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W celi wieziennej:
- Jak tu trafiles ?
- Przez katar.
- Jak to ?
- Kichnalem i straznik w banku sie obudzil.