Posté par: phbichon
Date: 04 janvier, 2017 16:51
les médias sont beaucoup plus libres depuis les réformes de Mitterrand de 81-82.
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J'aurai tout entendu :
La mainmise de la Droite sur la culture et la presse est manifeste. Seuls sont invités les journalistes de droite et d'extrême-droite pour débattre doctement des droidloms et de la dictature "sociétale" imposée par certains groupes de pression, relayés par la presse de droite.
Le maccarthysme de la presse et des associations de lutte "contre" tout et n'importe quoi a déjà engendré un système et un arsenal répressifs pour mettre au pas les récalcitrants.
Ainsi, sur la base d'une campagne de presse d'extrême-droite, façon "Gringoire", on peut faire condamner en correctionnelle un député ayant répété dans la presse des propos considérés comme désobligeants par tel groupe de pression, sur la base d'une loi initiée et votée par la Droite merdique, malgré l'avis négatif de la Commission nationale consultative des droits de l'homme.
Il s'est même trouvé des magistrats et des journalistes assez ignorants des principes constitutionnels pour considérer que le mandat parlementaire dudit député n'était pas une protection, mais une circonstance aggravante.
La déontologie journalistique, la présomption d'innocence, la charge de la preuve, l'immunité parlementaire, le secret de l'instruction, la proportionnalité des peines, bafoués sous la pression de minorités devant lesquelles les politiciens s’inclinent, c’est de la foutaise.
Pour les militants de la Gauche journalistique et associative la répression la plus sévère doit être appliquée aux droitiers, la loi qui devrait être commune étant toujours trop dure pour ses protégés.
Quand il s’agit d’incendiaires de banlieue, de clandestins, de belles fées gore, de terroristes divers, la sévérité cède la pas à l’indulgence.
Effectivement, la presse est noyautée par la Droite, pratique dont elle est coutumière.
On rêve comme des anges ; on vit comme des porcs
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chezalcide.wordpress.com]
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