Salut
Avant d'insérer du code html, on fait une petite prévisualisation pour voir si les balises sont validées. Un simple [
www.educationsansfrontieres.org] aurait suffit.
Ensuite, je ne vois pas pourquoi les gens de ce pays devraient prendre l'initiative de signer cette pétition. Si un individu fait des enfants, il a une responsabilité envers ses enfants. Si cet individu se met volontairement en danger, d'expulsion comme s'est écrit et décrit, , c'est à cet individu de prendre la responsabilité de ses enfants et des conséquences dommageable que cela pourra avoir envers eux. En plus, la France est une terre d'accueil pour les réfugiés politiques, mais pas économiques. Si problèmes économiqes il y a, cela fait longrtemps que des slutions de dévelopement durables existent, et ceci est d'autant plus vrais que des pays dits du sud se développent sans devoir faire appel à des echanges migratoires forcés.
De même, la France a des responsabilités vis à vis de l' Union Européenne et des autres pays européens en matière migratoire. La France ne peut pas se rendre elle même irresponsable alors que dorénavant elle fait partie d'une union de pays européens dont la politique en la matière est beaucoup moins souple que la politique française.
Sur le sol francais proviennent toutes les nationalités, il suffit de constater dans certaines grandes villes qu'on peut y rencontrer toutes les cultures, de toute la planète. Néanmoins, il est souvent notable de pouvoir identifier certains mouvements provenant de certains lieux déterminés, alors que tous les autres pays respectent des ambassades françaises.
En matière de souplesse, il faut savoir qu'il a souvent été fait exprès de fermer un oeil sur l'existence de certains sans papiers, dans un but non avoué d'humanisme. C'est une technique politique de créer une règle, de savoir que des individus y dérogent, mais de tolérer un minimum. Mais le minimum fait appel à ce qu'il y a de plus objectif. Certaines personnes ont cru que ce mimimum signifait autorisation, ce que des gens ont assimilé pour acquiss n'en était pas, et cela sous tous les gouvernements, de chirac , jospin, et mitterand !
Ayant cru avoir acquis un droit sous forme de coutume ( bien que les caractères du droit coutumier ne soient pas réunis ), c'est un choc de voir que peut se faire appliquer la sanction, certes ho combien pénible et terrible, d'expulsion.
Mais pour qu'une règle de droit s'applique, il faut aussi une sanction. Sans sanctions, on arrêt un système horizontal : chacun serait libre d'appliquer la règle de droit comme bon lui semble, ce qui se traduit généralement par l'inexistence de règles juridiques.
Par contre, la sanction, civile ou pénale, est ce qui permet de rétablir l'ordre de droit. Si cet ordre a été instauré, cela n'a rien à voir avec des méthodes mafieuses, ni la gestapo, c'est tout simplement parce qu'il y a une société derrière, avec son mode d'organisation.
Il est subtil de jouer sur ces mots en la matière, quand bien même des régimes fascistes sont arrivés au pouvoir par le jeu de la démocratie, et que le modèle de l'Etat de droit fonctionnait sous l'époque de la france occupée. Mais cela est futil et complêtement faux, car la notion de droit, d'Etat de droit, suppose la reconnaissance de principes de droit fondamentaux issus des constitutions et du bloc de constitutionalité, et les plus primordiales concernent les droits de l'homme, ajouté aux traités internationaux, comme la convantion européenne de sauvegarde des droits dfe l' homme.
Si il y a des irrégularités en matière d'expulsion, il y a ce qui s'appelle le référé liberté. Une procédure majeure en date de 2000, qui permet à toute personne assutie à une décision adminsitrative grave, d'invoquer les juridictions civiles et non adminsitratives, suposées statuer en temps reccord, sur des problèmes liés aux droits et aux libertes.
Notre ami Karles a surement du entendre parler des arrets GISTI.
Ainsi, si toute personnes expulsées utilise ce référé, ses droits et libertés fondamentaux sont protégés. Le juge civil statuant, il y a indépendance totale vis à vis de l'administration francaise.
Si la décision ne rend un verdict favorable envers cette personne, c'est que celle-ci n'a eut aucun droits fondamentaux de bafoué.
Maintenant, si les personnes en question nées sur le territoire francais doivent grandire ici ? rien ne peut les expulser, ayant la nationalité française.
Mais quel est le probleme dans la situation de fait ?
C'est que les parents peuvent se faire expulser, du mons, ils en seraient susceptibles.
Sans parler d'immigration. Avant d'être parent, on évite de penser égostement à soit et on réfléchit à l'avenir de ses enfants. On essaie de poser pour l'avenir des meilleures situations pour que grandisse cet enfant, qu'il profite de conditions d'éducation stable.
Dans le cas présent où on fuirait un pays pour des raisons économiques, cela est tout à fait compréhensible, bien que les problèmes de fond résident à devoir s'attaquer sur la situation économique du pays en question. Mais pour aller où ? et vivre dans quelles conditions ? quitter un pays fort peu développé mais avec les ataches et racines culturelles, pour aller rejoindre un pays où les seules places réservées sont dans des nouveaux bidonvilles, les quartiers en question ? L'existence des allocations sociales et des aides sociales constitue le critère déterminant, ou bien, pur l'angleterre, le critère de la non expulsion. C'est pour cela qu'il sera difficile de voir de tels problèmes dans le flux migratoire nord sud vis à vis des autres pays européens. Parce que la france a opté pour un modèle social il y a 20 ans, alors ceci constitue une forme de terre promise pour qui conserve un poil dans la main. Même en angleterre cela reste limité, car il n'y a pas tant d'aides sociales, les loyers sont élevés dans certaines villes.
On a inversé la notion de flux migratoire. Si on migre dans un pays déterminé, c'est pour y apporter quelquechose, car avant tout l'échange doit être une source d'enrichissement, culturel, économique, ... L'idée même de migrer c'est aler ailleurs pour chercher des conditions de vie qu'on estime meilleures, mais c'est aussi prendre en compte qu'on va souvent partir de rien, que la situation sera difficile, qu'on aura besoin d'aide des habitants locaux, et ce en vue departiciper à la vie politique économique et culturelle de ce pays. C'est ce qui s'appelle un processus d'adaptation.
Maintenant, l'idée de flux a changé : c'est quoi que je pourrais venir prendre, comme un droit futur. Ici, il y a déjà flux illégal. En belgique on ne parle pas de clandestins, terme trop vague, mais d'illégaux. Toutefois, il y a toujours eut de la clandestinité partout, et il est normal d'en tolérer un minimum.
Mais cette clandestinité s'est affirmé comme un effet de droit futur, presque immanent et obligatoire. Celui ci qui s'y opposerait se ferait coller l'étiquette de raciste, alors que n'oublions pas que être raciste c'est admettre l'existence race. Pour la haine de l'étranger, on parle de xénophobie. Mais les nouveaux instructeurs de la bonne pensée politique n'ont pas encore eut la bassesse d'aller si loin et de coller l'étiquette de xénophobe à celui qui s'opposerait à une situation qui tendrait à l'exploiter.
En outre, de ces flux migratoires, il n'y a plus intégration, mais mise en service des aides sociales comme un self service.
On perd de deux critères :
_ volonté de s'intégrer
_ contrôle et régularité d'un flux devenu 100% obsolète
En oubiant les engagements européens de la france et de sa responsabilité vis à vis des autres pays.
Dans cette affaire, l'individu X nous fait des enfants, et on vient nous dire que c'est de la faute du français si on refuse que son enfant grandisse ici. On a retourné les reponsabilité. On a retourné lezs responsabilité parentales, mais aussi celles en matière migratoires.
L'individu est devenu irresponsable, l' Etat reste encore le seul gardien du verrou de cette responsabilité.
Maintenant, une telle pétition aussi honteuse soit elle s'attaque à un pillier de l'Etat : l'expression souveraine de son peuple.
Un Etat doit exprimer l'expression de son peuple. Or, ici, on s'attaque de manière malhonnête à l'expression de celle-ci : on tend à vouloir faire croire que le peuple français désire que cette irresponsabilité soit totale.
Alors c'est de bon droit que j'invite tout le monde à ne pas signer cette pétition. D'ici peut être quelques jours, on devrait installer une pétition pour reconnaître à l' Etat le droit de prendre les mesures nécessaires pour faire appliquer cette politique. Une pétition contre votre pétition en quelque sorte .