Bydgoszcz - septembre 1939. Avec des raisons diamétralement opposées, la population est dans l'expectative, ou la crainte, de l'arrivée des troupes allemandes (qui finissent par arriver) ; tout y est : les voisins allemands qui retournent leur veste, les traitres, les courageux, les amoureux, les martyrs.

Sąsiedzi - (Aleksander Ścibor-Rylski, 1969) - drame historique, VO polonais, 2h15





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Pour un week end qui s'annonce pluvieux :

Co mi zrobisz, jak mnie złapiesz? (Stanisław Bareja - 1978)

Au milieu des années 75 (période PRL), le directeur de l'entreprise d'Etat "Pol-Pimu", Tadeusz Krzakoski, est envoyé en mission à Paris. A l'ambassade polonaise, il fait la connaissance d'une jolie fille, Danuta, et passe la nuit avec elle.
Quelques mois plus tard, Danuta lui rend visite pour lui annoncer qu'elle est enceinte de ses œuvres. Il s'avère rapidement qu'elle est la fille d'un personnage important ; un mariage avec elle permettrait à Krzakoski d'améliorer sa position professionnelle. Cependant, au préalable, il lui faut divorcer d'avec son épouse. Pour ce faire, avec l'aide d'un collègue, il monte un plan afin de prouver son infidélité.

Le film a été remastérisé.

< [www.youtube.com] > - VO polnais. L'humour polonais au temps de la PRL.


(ps. j'avais d'abord mis Ida, mais j'ai changé car le serveur merdouillait)

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Edité 1 temps. Dernière édition 18/04/2015 19:56 par Vendôme.

Ami(e)s du soir, bonsoir.

Voici encore un petit chef d'oeuvre du réalisateur Jerzy Hoffman (Pan Wołodyjowski, Potop, Ogniem i Mieczem, Prawo i Piesc, 1920 Bitwa Waszawska, etc.)

Synopsis
Le déclenchement de la guerre interrompt dramatiquement l'enfance heureuse de Ruth. Elle et sa mère se retrouvent confinées dans le quartier juif. Quand les Allemands commencent à déporter les juifs, la mère ne se fait aucune illusion sur le sort qui les attend ; elle ordonne à Ruth de sauter du convoi et de rejoindre des parents à Varsovie.
Commence alors pour la jeune fille une longue errance à travers la Pologne ; une épopée semée d'embûches et de drames au hasard des rencontres avec les adultes, selon qu'il s'agisse des bons, des méchants, ou des très méchants.

Le film est remarquablement documenté ; en particulier sur le ghetto de Varsovie ; et donne réellement à voir comment étaient les choses durant cette terrible période. Un film remarquable à voir sans faute


- < Wedle Wyroków Twoich > - VO polonais, 1986


Même pour ceux et celles qui ne manient pas le polonais, le film se donne à voir sans problème pour son aspect historique et documentaire, très étayé grâce au soutien des Archives de la Commission Centrale pour la Recherche sur les Crimes Nazis en Pologne, ainsi que les Archives Cinématographiques Nationales des Films Documentaires.

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Edité 2 temps. Dernière édition 21/07/2015 21:48 par Vendôme.

PREMIERE PARTIE

- < Les plus belle actrices polonaises des années 60 - cesc I >



LE FILM
Restons dans l'histoire de la Pologne. Voici un excellent film qui pourrait tout aussi bien être
un documentaire historique sur l'époque où la Pologne faisait partie de l'Empire russe.

Synopsis
Le film se déroule en 1863 sur les terres annexées par la Russie.
Le héros de "Szwagron", le jeune baron Fyodor Jeremin, est issu d'une famille de la noblesse russe. Voulant impressionner une jeune fille dont il est amoureux sans réciprocité, il se porte volontaire pour rejoindre un escadron de dragons partant pour pacifier la région polonaise de Radom.
En effet en Pologne insurrection a éclaté et il semble au jeune baron que les Polonais seront vaincus facilement, et qu'il gagnera sans trop d'efforts, grade d'officier, médailles, butin et la gloire du héros. Contre 30.000 insurgés, le tsar a envoyé 300.000 soldats...
L'escadron est sous le ordres du capitaine Dobrowolski, un Polonais retors au service du tsar, et qui s'avère être des plus cruel envers les populations polonaises...

Le rôle du capitaine Dobrowolski est joué par l'excellentissime acteur < Janusz Gajos (Przesluchanie, Zolty Szalik, Układ zamknięty, etc.). Si dans ce rôle il est franchement exécrable, c'est à la scène un acteur de théâtre et un comique fort sympatique


- < Szwadron >- Juliusz Machulski, 1992 - VO polonais (dialogues russes et français sous-titrés en polonais) - 1h37




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Edité 1 temps. Dernière édition 23/07/2015 02:33 par Vendôme.

Merci ! Je visionnerai cela une de ces nuits...à la fraîche !!!

PREMIÈRE PARTIE

- Un p'tit Miquet du temps de la PRL : < Nu pododi # 20 >



LE FILM - U PANA BOGA ZA PIECEM
Si vous aimez les films chaleureux et réjouissants, celui-ci est pour vous.
Chronique provinciale polonaise à rebondissements, avec ses personnages savoureux, sa campagne, ses bonnes soupes fumantes et ses saucisses fumées, son curé et son maire. Film plein d'humour ("Qui a découvert les mathématiques ? Un russe du nom de Pieta Gor"), avec en prime le délicieux parlé de l'héroine, la belle Marusia (Ira Łaczina) dont est amoureux le jeune et timide organiste Witek Naliwajko. Ce film attachant a été tourné dans la région de Bialystock ; maintes fois primé dans différents festivals, c'est un petit bijou que je vous propose de découvrir (pour qui ne connait pas)


SYNOPSIS
Frontière orientale (Belarus-PL) ; un bus plein de modestes vendeuses d'au delà du Bug, se rendant au marché polonais frontalier, se fait racketter en pleine forêt par un trio de malfaisants.
Parmi les victimes spoliées et molestées par ces fâcheux, une est débarquée, Marusia, qui décide de marcher jusqu'au poste de police le plus proche, à Krolowny Most, pour y déposer plainte pour le vol de sa fortune, 200$.
Comme est elle est le principal témoin de l'attaque perpétrée par cette bande qui sévit depuis pas mal de temps, le commissaire, pour les besoins de l'enquête, décide de la garder quelques jours à Krolowny Most. Le curé, qui est de fait le personnage le plus important de la bourgade propose de loger Marusia dans la maison du jeune organiste Witek — qui tombe aussi sec bleu d'elle...


- < U Pana Boga Za Piecem > - Jacek Bromski, 1998 - VO polonais, 1h35

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Si vous avez aimé "U PANA BOGA ZA PIECEM", vous pourrez encore bien vous régaler avec la suite des aventures de nos héros et héroïnes de Krolowy Most dans ce qui suit.

U PANA BOGA W OGRODKU se compose d'une série de 12 épisodes d'environ 40-45 min chacun tournés pour la télé polonaise.
C'est tout aussi réjouissant et chaleureux que le premier film, même acteurs, même humour et même sympathique climat régional.


SYNOPSIS
10 ans ont passé depuis le premier film. A Krolowy Most, de mauvais signes font pressentir au curé, que des ennuis s'annoncent pour sa paroisse. Ça se précise en effet avec la venue de barbouzes des services secrets qui viennent planquer un nommé Bocian, témoin repenti de la mafia, dans une maison isolée du village. Ce drôle d'oiseau, boit-sans-soif, va chambouler la vie tranquille du canton et semer la pagaille — jusqu'à ce qu'Amour lui décoche une flèche.
On assistera alors à la rédemption progressive de ce mauvais chrétien, dont l'apothéose sera un moment des plus émouvant, très polonais, qui comme pour moi, vous restera peut-être gravé dans le cœur...

... entre-temps, un jeune aspirant arrive à la brigade — le plus mauvais de l’École de Police.

(Vous remarquerez que dans beaucoup de changements de scènes ou de plans, le réalisateur fait passer des chiens, des chevaux, des poules ou des oies, ainsi que nos deux bonnes-sœurs sur leur tandem, avec force "Niech bedzie pochwalony" à tout bout de champ)


- < U Pana Boga w Ogródku > - les 12 épisodes se suivent automatiquement





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LE FILM : БАТАЛЬОНЪ (Le Bataillon)
Printemps 1917. La révolution de Février a changé la vie de la Russie et le cours de la Grande Guerre. Le Tsar a abdiqué et Kerensky, Ministre de la Guerre du gouvernement provisoire, reste seul à assurer la conduite des opérations. Dans les tranchées, alors que la confrontation avec les Allemands piétine, au sein de l’armée les capacités de combat se détériorent rapidement, quand elle ne tournent pas à la débâcle. Une femme, Maria Bochkareva, décide de redresser un peu les choses à son niveau. Dès 1914 elle a obtenu du Tsar l'autorisation d'intégrer l'armée. L'idée lui viendra ultérieurement de former des bataillons féminins (qui compteront jusqu'à 6.000 combattantes).


SYNOPSIS
Une de ces unités de volontaires, composé d'ouvrières, de paysannes et de princesses, commence sa formation, puis est envoyé au front afin de montrer l'exemple du courage aux soldats de l'armée russe en décomposition. L'affaire se terminera en désastre : seules 250 femmes sur 2.000 survivront à la boucherie.
Si l'histoire a retenu le vain sacrifice de ce pompeusement nommé, "Bataillon de la Mort" (qui défendit jusqu'à la fin le Palais d'Hiver assiégé en octobre 1917), en Occident qui connait l'histoire de Maria Bochkareva et de sa fin tragique ?...

Voici l'histoire vraie de cette femme exceptionnelle et attachante, magistralement interprétée à l'écran par Mariya Aronova


- < Батальонъ > - 2015, Igor Ugolnikov, VO russe, 2h00


Si vous ne parlez par russe, ce n'est pas grave, la très belle photographie de Dmitriy Meskhiyev et le script permettent de suivre aisément l'histoire. Attention : les scènes de tranchées sont assez dures, âmes sensibles s'abstenir.

Merci aux locuteurs(trices) russes de ne pas traduire l'image de fin (la légende sous la photo de la vraie Maria Bochkareva).
Pour les curieux(ses), taper son nom sur Google, c'est plein d'articles passionnants sur elle.

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Edité 4 temps. Dernière édition 31/07/2015 16:19 par Vendôme.

Si quelqu'un est intéressé :

Le livre sur la vie de Maria "Yashka" Bochkareva est disponible sur Amazon.fr
- < Yashka, journal d'une femme combattante - Russie 1914-1917 >

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Salut les jeunes ! Ce soir Ciné-Club sur Klub-Beskid

Je vous ai dégoté un petit bijou peu connu. Après les misères russes, voici une douce liqueur qui ravira toutes les fleurs bleues.


LE FILM
"BIAŁY ŚLAD", a représenté la Pologne au 1er Festival International du Film à Venise en 1932, et obtenu une récompense pour l'image (qui est en effet magnifique pour l'époque). Le film a été acheté par l'Italie et les USA et ces succès à l'étranger lui ont valu une bonne audience auprès du public polonais.

Malgré certaines lourdeurs du scenario, quelques lacunes à la réalisation et le jeu hésitant des acteurs amateurs, le film a captivé par la beauté de ses cadrages, le rendu très "photogénique" de la neige, la beauté des paysages polonais et le folklore local.
Donnant ici libre court à sa fascination pour la nature et la montagne, le réalisateur a empreint ce film d'une touche très personnelle, rarement présente dans le cinéma polonais d'avant-guerre.
Pour des raisons inconnues, ce film a disparu pendant plusieurs décades.

SYNOPSIS
C'est une histoire d'amours un peu embrouillées, dans le genre : "elle en aimait un qui le l'aimait pas, qui en aimait une autre, qui en aimait un autre..."

Le film se déroule dans les Tatras. Non loin d'un village habite Zośka avec son frère Władek. La jeune fille aime Jasiek, mais celui-ci soupire pour une certaine Hanka, laquelle, ses études terminées, revient dans son village natal. Cette Hanka là est amoureuse d'un beau montagnard - Andrzej, et ne prête évidemment aucune attention à ce pauvre Jasiek qui joue les amoureux transis.
(... à ce stade, voulez-vous que je répète ?)
Un beau matin nos tourtereaux - Hanka et Andrzej - décident de faire une randonnée dans les montagnes ; mauvais plan : une avalanche les enseveli. Jasiek part à leur secours, ainsi que les sauveteurs du GOPR (Górskie Ochotnicze Pogotowie Ratunkowe)...


- < Biały ślad > - 1932, Adam Krzeptowski, VO polonais, durée 1h08.





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Merci Jean ! Pour ma soirée de demain

Pour faire plaisir à mon camarade Jean-Paul, et en cette période anniversaire du Soulèvement de Varsovie, je vous propose "MIASTO 44"
J'ai eu l'occasion de voir le film en Pologne le jour de sa sortie l'année dernière, aussi permettez-moi ce préambule pour éviter toutes les pinailleries habituelles des "historiens".

Ce film ne prétend aucunement relater historiquement l'Insurrection de Varsovie, c'est d'ailleurs ce qu'à souligné le réalisateur lors de la première. Il s'agit d'une ode à la jeunesse, au courage et à l'abnégation, à l'amour et au sacrifice, réalisée dans un style compréhensible par la jeunesse d'aujourd'hui. Cependant, et pour la qualité de l’œuvre, beaucoup de plans semblent avoir été inspirés par le livre d'Anna Szatkowska (La Maison Brulée - Byl Dom) dont quelqu'un ici nous avait signalé la parution il y a quelques années (disponible sur Amazon.fr)



SYNOPSIS
Ca se résume à peu de mots : la jeunesse, l'amour, la mort. L'histoire du Soulèvement tout le monde connait. Je signalerais juste aux âmes sensibles que certaines scènes, dont l'explosion du Goliath (par ailleurs décrit de manière effrayante par Anna Szatkowska), peuvent vraiment choquer.

1944. Dans Varsovie occupée, Stefan travaille pour subvenir aux besoins de sa mère et de son petit frère. Le commandement de l'AK décide d'attaquer les forces allemandes affaiblies qui se replient vers l'Ouest devant l'Armée Rouge.
Stefan souhaite combattre l'ennemi avec ses amis et son amoureuse. Les premiers jours de l'Insurrection sont euphoriques, les Allemands battent en retraite, mais ce bonheur est de courte durée : les Allemands reviennent à Varsovie et le sort de l'Insurrection semble fatal...




MIASTO 44 - Jan Komasa, 2014, VO polonais, 1h58

J'ai remplacé la version bloquée par une qui fonctionne (04-09-2015).
J'ai encore remplacé la version bloquée (01-09-2016) Vendomski têtu obstiné !





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Edité 4 temps. Dernière édition 01/09/2016 10:55 par Vendôme.

Pour ceux/celles qui ne l'auraient pas vu, voici "IDA", en version française.

Ce film dérangeant a été diversement accueilli en Pologne ; autant détesté que porté aux nues ; il n'a laissé personne indifférent. Le sujet est sensible et traité sans parti pris, mais l'habituelle cohorte des pinailleurs outragés n'y a vu qu'un film anti-polonais. Or le sujet est tout autre.

Le film se passant durant la période communiste, le réalisateur à volontairement choisi un format qui rappelle celui des films de la PRL et opté pour le noir et blanc, ce qui rajoute à l'atmosphère lugubre et oppressante de cette sombre période. Le personnage de Wanda Gruz, la tante alcoolique d'Ida, surnommée "Krwawa Wanda" (Wanda la Sanglante) est inspiré de la sinistre < Helena Wolińska >, procureure stalinienne tristement célèbre pour avoir envoyé des charrettes de combattants de l'AK au poteau d'exécution, dont le général Nil.

Ceux et celles qui ont connu l'atmosphère sans espoir de la Pologne communiste retrouveront cette sale impression, mêlée à l'odeur d'essence mal raffinée qui empestait les rues, l’âcreté de la mauvaise vodka, et l'ennui mortel des bourgades de province.

Ceci dit, ce film qui montre le cheminement psychologique d'Ida, est un petit bijou. L'actrice qui tient le rôle d'Ida (Agata Trzebuchowska)
est une débutante sortie de nulle part, et Agata Kulesza (la tante) est proprement époustouflante dans ce rôle tragique.
Le film, les actrices et Ryszard Lenczewski (pour l'image) ont reçu plusieurs Oscars et une pléthore de récompenses internationales.

SYNOSPIS
Nie ma, je vous laisse découvrir ce chef d’œuvre.





IDA, Paweł Pawlikowski, 2013, version française, durée 1h08 (disponible sur Amazon.fr, langue PL et FR)

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En cette période riche en commémorations (en PL), et pour mettre un peu de baume au coeur de Zygmunt, je vous propose de regarder un excellent film historique sur la bataille de Westerplatte, qui a vu, le 1er septembre 1939, une poignée de héros affronter la plus puissante armée du monde.

LE FILM

"LA BATAILLE DE WESTERPLATTE" est une reconstitution soignée de la bataille et de ses à-côtés, qui mêle Histoire et destins individuels.
Pendant une semaine, sur la presqu'île de Westerplatte qui commande le chenal d'entrée du port de Gdansk, un peu moins de 200 soldats polonais vont affronter les violents bombardements allemands venant du cuirassé "Schleswig-Holstein" et combattre les 1.500 hommes de l'unité SS Heimwehr, tandis que les autorités polonaises s'interrogent : doit-on se battre jusqu'au dernier ou se rendre à un ennemi dont les forces sont écrasantes.

Ils devaient tenir 12 heures pour permettre l'évacuation de la division Szarzynski : ils ont tenu une semaine. Pour l'honneur et la Gdansk polonaise. Un film spectaculaire et émouvant, à voir sans faute pour qui a la Pologne au cœur.





Les Héros de Westerplatte - Pawel Chochlew, 2013 - 1h35, version française.

DVD disponible chez Amazon.fr VF et VO PL sous-titrée en FR

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Edité 1 temps. Dernière édition 03/09/2015 03:30 par Vendôme.

@ Vendôme : Je n'avais pas remarqué que tu avais mis le film Miasto 44 en lien. Voulant l'enregistrer je m'aperçois que YT l'a retiré suite à plainte ( droits d'auteur!), donc c'est foutu pour moi, en tout cas

Jean-Paul : autre copie ici, magne-toi.





Je l'ai aussi remplacée sur mon post d'origine

Sinon, n'hésite pas, je peux t'avoir le DVD en PL.

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Edité 1 temps. Dernière édition 04/09/2015 02:17 par Vendôme.

@Vendomatographe :

Citation:

Jean-Paul : autre copie ici, magne-toi.

Mis en boîte, ok. ainsi que Ida et Westerplatte. A regarder après le mastic

Toujours en cette période de commémoration, voici un film historique relatant le sacrifice des employés de la Poste Centrale de Gdansk en septembre 1939.

WOLNE MIASTO

Dans les annales du cinéma polonais, ce film de 1958 est considéré comme le premier consacré à l'invasion allemande de septembre 1939. Parmi tous les évènement dramatiques de cette période, le metteur en scène à choisi un épisode peu relaté dans les livres d'histoire.
Et pour cause : la défense de la Poste de Gdansk n'a pas fait autant de victimes que Westerplatte ou Varsovie ; elle n'avait pas une réelle importance politique et militaire, comme la bataille pour Hel ou celle de la forteresse de Modlin ; elle a aussi été plus courte.
Ce film est à la gloire de ces héros ; de simples postiers qui n'avaient aucune chance contre un ennemi puissamment armé

SYNOPSIS
Le film décrit d'abord le quotidien des personnages puis l'atmosphère menaçante qui règne à Gdansk, les provocations et la haine d'une partie de la population allemande, nazie, envers les polonais. Les signes inquiétants d'un cataclysme proche se précisent d'heure en heure.
Survient l'attaque et la lutte désespérée des postiers pour défendre non seulement la Poste, mais pour leur propre dignité et l'honneur...





Wolne Miasto (1958) - Stanisław Różewicz, 1h35, VO polonais.


Encore un excellent film (sans propagande) qu'il faut avoir vu.

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