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Mik,
OK :
revenais dans le texte est plus conforme à wracal, je pense.
minusculiser l'automne : ok.
Dans le même sens, que suivant ta modif :
(...) Et par les mimosas dorés se faisait lune de mai.
Je propose différemment
...) ET, par les mimosas dorés,
devenait lune de mai.
Od exprimant l'idée de "
à partir de". Pas facile à caser dans le poème. "
De par les mimosas"...devenait lune de mai, n'est pas très poétique, non plus. Donc, pour le moment reste
par.
C'est là qu'on s'aperçoit que l'on a guère de mots pour remplacer "grâce" dont on s'est déjà servit 6 lignes plus haut. En fait c'est
à cause mais cela aurait un effet plus négatif. L'on est pratiquement obligé de mettre lune de mai, n'ayant pas de terme pour faire une lune maillante, mailleuse, maillisante, alors que si cela avait été au mois d’août on aurait presque pu en faire une lune aoûtienne !
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Christian Orpel :
-"
C’était toi, Jeune fille, toi,
Qui dans la rue venais vers moi."
Ty jestes ta dziewczyna : c'est au présent dans la tête de
Tuwin. Autrement il aurait écrit bylas...
OK Pour la 2ème strophe : terminer les phrases par essouflé, voletaient. Faisant ainsi « rimer » l’ensemble.
- C'était toi (...) qui me rejoignais : Autant
Tuwin emploie le verbe être au présent au début : « ty jestes »..., autant ici il écrit ty(...)przychodzilas, sans jestes ou autre bylas, alors…
OK :pour finir la phrase par ...
pâtisserie, le soir, faisant une rime, quoique l'on ne soit pas dans une versification, avec "
mémoire".
-"Ah, il y a peut-être trop de fois le verbe "venir" et "revenir" en quelques vers ."
Pourquoi ne pas écrire : quand je
rentrais de l'école comme je l'avais proposé dans une version antérieure ?
-"Dans la chanson, Niemen dit en fait:
To tu płakałem szeptanymi słowy."
Cela se complique, même si C.Niemen " interprète..." de fait, en plus, moi j'entends : "
Bo tu plakalem..."
To tu = c'est ici
Bo tu = car ici
D'une manière ou d'une autre, il n'est plus question de parc .
Donc, nous sommes dans l'interprétation d'un texte.