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Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 25 novembre, 2016 21:44

A travers les rues ...

Il faudrait trouver autre chose.
On a " au travers des nuages" ...

Ca fait beaucoup de travers en quelques vers ...

Re: Traduction poème
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 25 novembre, 2016 23:30

Citation:
"Les mimosas fanés (ou flétris), les rappellent En octobre -les jaunes immortelles,

C'est presque aussi beau que du Google translate.


Qui a parlé d'HLM ? Pour infos, un immeuble collectif n'est pas forcément une HLM, les immeubles bourgeois de Lodz ( puisque vous pensez que c'était le cas pour Julian Tuwin ) devaient bien avoir une entrée commune sous porte cochère, et rien n'empêchait de reconnaître l'odeur d'une lettre glissée dans les boîtes à lettres ou déposée chez le gardien. Mais c'est une autre histoire, mais puisque vous en causez...


Citation:
Si on tient à l'entrée, il faudrait peut-être éviter, "quand je rentrais", juste après ... :

Mik, préfère aussi "l'entrée" que je propose.

Quand je revenais,... (tout simplement)- verbe employé au passé composé dans la vidéo, car était-ce à chaque fois qu’il « rentrait « de l’école qu’une lettre parfumé l’attendait ?

Citation:
Il faudrait trouver autre chose. On a " au travers des nuages" ... Ca fait beaucoup de travers en quelques vers ...

Quand je revenais de l'école, essouflé, ou quand je revenais essouflé de l'ecole,
En traversant les rues, en parcourant les rues, dans les rues,
Des anges lumineux...

Si on ne veut pas que la lune éclaire à travers les nuages, elle peut briller entre les nuages, ou bien rayonner d'entre les nuages puisque finalement przeswitywac se traduit par rayonnait, comme je l'écrivais dans mes premières versions et que confirma ensuite Andrzej.


Citation:
"Toi, oui toi, ma seule et unique, Me rejoignais le soir, dans la pâtisserie." "Toi me rejoignais" en français, c'est impossible . Il manque un "tu".

Ou un Qui me rejoignait : Qui est venu vers moi comme dans mes premières versions.

Citation:
Je me demande qui a proposé la répétition de "comme".

Personne ici, c'est Tuwin qui l'écrit dans son poème : Jak ta Zlota, Jak ta wonna wiazanka

Faudrait savoir, je vous cite : "....Eh non, il faut introduire à l'univers de Tuwim, pas au sien propre, si l'on se veut traducteur."

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 25 novembre, 2016 23:45

Citation:
"Toi, oui toi, ma seule et unique, Me rejoignais le soir, dans la pâtisserie." "Toi me rejoignais" en français, c'est impossible . Il manque un "tu".

Ou un Qui me rejoignait : Qui est venu vers moi comme dans mes premières versions.

Non, n'écrivez pas qui : vous ne maîtrisez pas le pronom relatif ! Car dans la foulée, vous oubliez le toi, le tu ... tu me rejoignais, tu es venue vers moi ...

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 25 novembre, 2016 23:47

Citation:
"Les mimosas fanés (ou flétris), les rappellent En octobre -les jaunes immortelles,

C'est presque aussi beau que du Google translate.


Ciel, il y a une rime !

Pour qui voulait se plier aux alexandrins académiques ...

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 00:17

Citation:
Si on tient à l'entrée, il faudrait peut-être éviter, "quand je rentrais", juste après ... :

Mik, préfère aussi "l'entrée" que je propose.

Ma parole, vous lisez toujours de travers? Ou à moitié ? [/i]

Il n'y rien de scandaleux dans "l'entrée", pourvu que ce ne soit pas le "hall d'entrée", pourvu que ce ne soit pas suivi de "rentrais" et pourvu qu'au final, vous ne lorgniez pas nostalgiquement vers la "véranda", histoire, pour éviter Charybde (et le vestibule), de foncer dans Scylla...

J'étais sûr que vous n'aviez pas besoin de moi pour remplacer "rentrais" par "revenais" ... Mais quelque chose me dit que vous ne l'auriez pas corrigé, si quelqu'un ne vous l'avait signalé ...

[i]


Quand je revenais,... (tout simplement)- verbe employé au passé composé dans la vidéo, car était-ce à chaque fois qu’il « rentrait « de l’école qu’une lettre parfumé l’attendait ?


Suite à la traduction d'Andrzej, vous aviez laissé tomber sans coup férir vos passés composés.


Ne vous avais-je pas interpellé sur votre interprétation des deux premiers quatrains ? Vous vous êtes bien gardé de répondre. Il rentrait tous les jours de l'école, avec les anges à ses trousses ? Il avait droit tous les jours à des lettres parfumées, et tous les soirs à un passage à la cukiernia?

Mais une fois, après lettres parfumées et délices de cukiernia, il est allé pleurer dans un parc ... De désespoir ? Ses rêves semblaient bien doux ...puisqu'il se croyait au mois de mai !



Edité 2 temps. Dernière édition 26/11/2016 00:39 par Christian Orpel.

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 00:27

Citation:
Je me demande qui a proposé la répétition de "comme".

Personne ici, c'est Tuwin qui l'écrit dans son poème : Jak ta Zlota, Jak ta wonna wiazanka

Faudrait savoir, je vous cite : "....Eh non, il faut introduire à l'univers de Tuwim, pas au sien propre, si l'on se veut traducteur."

Si pour vous l'univers de Tuwim est dans "jak" ... Par contre, vous ne le voyez pas, l'effet poétique ? Vous ne l'entendez pas, avec Niemen ? Il ne le lâche pas tout de suite, son bouquet, ce bouquet ! Son dernier mot !

Re: Traduction poème
Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 08:02

Citation:
Christian Orpel
Non, n'écrivez pas qui : vous ne maîtrisez pas le pronom relatif !

On peut enseigner l'emploi du pronom relatif plutôt que le déconseiller.

Petite leçon pour jpaul et tous ceux qui le veulent

"nous allons----- nous qui allons"
"vous êtes------ vous qui êtes"
"ils viendront---- ceux qui viendront"


Le verbe s'accorde toujours avec son sujet, la personne représentée par "qui".

donc :

"tu me rejoignais--- toi qui me rejoignais"

C'est plus difficile quand on n'entend pas la terminaison, mais c'est le même principe. Alors, en cas de doute, il faut essayer avec une autre personne et observer.

Mik



Edité 1 temps. Dernière édition 26/11/2016 09:18 par Mik.

Re: Traduction poème
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 08:52

Monsieur Orpel, maintenant n'aide plus à faire une traduction ( ou interprétation), il interpelle et déconseille. Et attend une réponse à chaque intervention de sa part.

Mik, s'i te plait, soit que je ne comprends plus rien, mais où serait l'erreur dans ma phrase :

"Toi, oui toi, ma seule et unique, qui me rejoignais le soir.../


Par rapport à : toi qui me rejoignais...

Re: Traduction poème
Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 09:21

Là c'est correct.
Cette nuit, tu as proposé "Ou un Qui me rejoignait" c'est là que ça n'allait pas.

Mik

Re: Traduction poème
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 18:48

Citation:
Là c'est correct. Cette nuit, tu as proposé "Ou un Qui me rejoignait" c'est là que ça n'allait pas.

Merci Mik de ton intervention explicative. Le"T" de la 3ème personne du singulier a éte frappé par inadvertance à 23 h, C.Orpel, m'ayant précédemment fait la remarque que le sujet était toi ( enfin, elle), mais une sorte d’automatisme ne pas laissé faire la correction, mais j'avais compris. L'erreur piégeante a été corrigé, mais je risque de la refaire, car j'écrit trop vite.
De toute façon, un T frappé à 23h, n'a jamais fait de mal à personne, un café frappé non plus.grinning smiley

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 20:48

J'ai corrigé le t doublement frappé à 23 heures, parce qu'il s'agissait de la traduction du poème de Tuwim.

Sinon, je n'ai pas vocation, sur les forums, à corriger les fautes d'orthographe des uns ou des autres.

Re: Traduction poème
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 26 novembre, 2016 23:54

Pour l'exemple : Voilà comment un écrivain- traducteur " de métier" , interprète un poème différent de Julian Tuwin, extrait d'un ouvrage de recueil du-dit poète, suivant le comparatif que j'en ai fait :

Fi des alexandrins, des traductions fidèles, de l'ordre des mots, des hiatus etc...seules Les rimes sont là , "l'atmosphère" Tuwiniène et disons, les impressions.
Pas de fautes d’orthographe, mais c'est un pro. En tout cas on ne sait pas si on lui avait tapé sur les doigts avant de finaliser sa version.

Traduction d'un poème de Julian Tuwin par Jacques Burko :


Jacques Burko
:>>>>> [fr.wikipedia.org]




Cliquer 1 fois sur la vignette, puis une 2eme fois pour l'agrandir encore : : http://www.klub-beskid.com/ibergeur/Upload/thumbs/traducihi.jpg



C'est tout...

Re: Traduction poème
Posté par: niu-nia (IP Loggée)
Date: 28 novembre, 2016 01:12

Merci Mik et Janus de m'encourager à entrer dans l'arène..."J'ai peur"
Je vais ouvrir un autre post, et y déposer avec délicatesse et sur la pointe des pieds, la traduction (que je n'ai pas encore terminée) de mon poème destiné à la Pologne.

Cette fois, traduction dans l'autre sens...je serais heureuse que l'on m'apporte toutes les corrections nécessaires, et une aide qui, je n'en doute pas, me sera indispensable ; cependant, j'ose espérer que cela pourra se faire dans un climat amical et non "ultra pédagogique"...

Il ne peut y avoir de joutes verbales acerbes autour de la poésie, quelles qu'en soient les raisons...le contraire serait lui faire offense !!!! Chaque mot peut être analysé, décortiqué, traduit, etc...par qui le souhaite, mais il ne faut jamais oublier qu'il est issu d'un ensemble, qui émane de l'âme de celui qui en est à l'origine...le "poète". Bon, ma réflexion est peut-être hors-sujet ???"Blah Blah"

A bientôtUn petit caf?

Re: Traduction poème
Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 28 novembre, 2016 07:46

Je joins ma voix à clle de niu-nia pour appeler à une collaboration fructueuse dans le respect des personnes.
On peut dire "je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites" sans dénigrer l'auteur des paroles contestées.

Niu-nia, je conteste l'expression "ultra pédagogique" que tu as employée. Je crois comprendre ce que tu veux dire. Mais je pense que la bonne pédagogie est bienveillante. Quand on s'énerve pour faire entrer de force les connaissances dans la tête des élèves, quand on ironise, quand on reproche à l'élève de ne pas comprendre, ça ne marche pas... et en général on se reproche très vite d'avoir perdu son calme.

Mik

Re: Traduction poème
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 28 novembre, 2016 23:18

Suite aux derniers commentaires de Mik, pleins de bons sens et en attente du propre poème de Niu-nia, peut-être dans un autre post à créer, je vous propose une énième lecture de celui que j'ai mis au départ. Version "fignolée" grâce aux remarques de chacun et à la première traduction complète d'Andrzej dés le début.

Simplement savoir si cette fois-ci, on est bien conforme, d'après vous, ( ceux qui maîtrisent bien mieux que moi la langue polonaise et française ) à ce qu'à voulu dire l'auteur, restant prés de l'écriture, qui toutefois possède sa propre logique polonaise et Tuwiniène. Autrement on n'en sortira pas.

Avec les mimosas commence l’automne,
Doré, fragile et doux.
C’est toi, Jeune fille, toi,
Qui dans la rue venais vers moi.

Tes lettres embaumaient dès l’entrée,
Quand je rentrais, essoufflé de l’école,
A travers les rues de cet automne léger,
Des anges lumineux voletaient autour de moi.

Les mimosas flétris me reviennent en mémoire
Grâce aux jaunes immortelles, en octobre.
Toi, oui toi, ma seule et unique,
Qui me rejoignais le soir, à la pâtisserie.

Priant, rêvant, à perdre conscience,
Dans le parc, je pleurais, en murmurant quelques mots.
La jeune lune d’Automne luisait au travers des nuages
Et les mimosas dorés en faisaient une lune de mai.

Ah ! Dans de suaves et tendres songes,
Je m'endormis avec l’astre de la nuit, qui s’éteignit au matin,
Rêvant que je jouais dans les printemps d’autrefois,
Comme avec ce bouquet doré, ce bouquet parfumé…

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Mimozami jesień się zaczyna,
Złotawa, krucha i miła.
To ty, to ty jesteś ta dziewczyna,
Która do mnie na ulicę wychodziła.

Od twoich listów pachniało w sieni,
Gdym wracał zdyszany ze szkoły,
A po ulicach w lekkiej jesieni
Fruwały za mną jasne anioły.

Mimozami zwiędłość przypomina
Nieśmiertelnik żółty - październik.
To ty, to ty moja jedyna,
Przychodziłaś wieczorem do cukierni.

Z przemodlenia, z przeomdlenia senny,
W parku płakałem szeptanymi słowy.
Młodzik z chmurek prześwitywał jesienny,
Od mimozy złotej - majowy.

Ach, czułymi, przemiłymi snami
Zasypiałem z nim gasnącym o poranku,
W snach dawnymi bawiąc się wiosnami,
Jak tą złotą, jak tą wonną wiązanką...

Re: Traduction poème
Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 29 novembre, 2016 09:40

Je propose quelques modifications en rouge.

Avec les mimosas commence l’automne,
Doré, fragile et doux.
C’est toi, Jeune fille, toi,
Qui dans la rue venais vers moi.

Tes lettres embaumaient dès l’entrée,
Quand je revenais, essoufflé de l’école,
A travers les rues de cet automne léger,
Des anges lumineux voletaient autour de moi.

Les mimosas flétris me reviennent en mémoire
Grâce aux jaunes immortelles, en octobre.
Toi, oui toi, ma seule et unique,
Qui me rejoignais le soir, à la pâtisserie.

Priant, rêvant, à perdre conscience,
Dans le parc, je pleurais, en murmurant quelques mots.
La jeune lune d’automne luisait au travers des nuages
Et par les mimosas dorés se faisait lune de mai.

Ah ! Dans de suaves et tendres songes,
Je m'endormis avec l’astre de la nuit, qui s’éteignit au matin,
Rêvant que je jouais dans les printemps d’autrefois,
Comme avec ce bouquet doré, ce bouquet parfumé…

Mik

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 29 novembre, 2016 11:33

C’était toi, Jeune fille, toi,
Qui dans la rue venais vers moi.

Tes lettres embaumaient dès l’entrée,
Quand je revenais de l’école, essoufflé,
A travers les rues de cet automne léger,
Des anges lumineux autour de moi voletaient .

Les mimosas flétris me reviennent en mémoire
Grâce aux jaunes immortelles, en octobre.
C'était toi, oui toi, ma seule et unique,
Qui me rejoignais à la pâtisserie,le soir.

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 29 novembre, 2016 11:39

Ah, il y a peut-être trop de fois le verbe "venir" et "revenir" en quelques vers .

On pourrait en éliminer un en écrivant :

Quand je retournais de l’école, essoufflé,

Re: Traduction poème
Posté par: Christian Orpel (IP Loggée)
Date: 29 novembre, 2016 11:50

Z przemodlenia, z przeomdlenia senny,
W parku płakałem szeptanymi słowy.

Dans la chanson, Niemen dit en fait:
To tu płakałem szeptanymi słowy.

Re: Traduction poème
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 29 novembre, 2016 14:26

@ Mik,

OK : revenais dans le texte est plus conforme à wracal, je pense. minusculiser l'automne : ok.

Dans le même sens, que suivant ta modif : (...) Et par les mimosas dorés se faisait lune de mai.


Je propose différemment sad smiley...) ET, par les mimosas dorés, devenait lune de mai.

Od exprimant l'idée de "à partir de". Pas facile à caser dans le poème. "De par les mimosas"...devenait lune de mai, n'est pas très poétique, non plus. Donc, pour le moment reste par.


C'est là qu'on s'aperçoit que l'on a guère de mots pour remplacer "grâce" dont on s'est déjà servit 6 lignes plus haut. En fait c'est à cause mais cela aurait un effet plus négatif. L'on est pratiquement obligé de mettre lune de mai, n'ayant pas de terme pour faire une lune maillante, mailleuse, maillisante, alors que si cela avait été au mois d’août on aurait presque pu en faire une lune aoûtienne !


-@ Christian Orpel :

-"C’était toi, Jeune fille, toi,
Qui dans la rue venais vers moi."


Ty jestes ta dziewczyna : c'est au présent dans la tête de Tuwin. Autrement il aurait écrit bylas...

OK Pour la 2ème strophe : terminer les phrases par essouflé, voletaient. Faisant ainsi « rimer » l’ensemble.

- C'était toi
(...) qui me rejoignais : Autant Tuwin emploie le verbe être au présent au début : « ty jestes »..., autant ici il écrit ty(...)przychodzilas, sans jestes ou autre bylas, alors…

OK :pour finir la phrase par ...pâtisserie, le soir, faisant une rime, quoique l'on ne soit pas dans une versification, avec "mémoire".

-"Ah, il y a peut-être trop de fois le verbe "venir" et "revenir" en quelques vers ."

Pourquoi ne pas écrire : quand je rentrais de l'école comme je l'avais proposé dans une version antérieure ?



-"Dans la chanson, Niemen dit en fait:
To tu płakałem szeptanymi słowy."

Cela se complique, même si C.Niemen " interprète..." de fait, en plus, moi j'entends : " Bo tu plakalem..."

To tu = c'est ici

Bo tu = car ici

D'une manière ou d'une autre, il n'est plus question de parc .


Donc, nous sommes dans l'interprétation d'un texte.

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